Football-the-story

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Stade Brestois

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Stade Brestois

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Stade Brestois 29, fondé en 1903 puis une fusion le 26 juin 1950

Anciens Noms: Armoricaine de Brest (1903-1950), Stade Brestois (1950-1982), 

Brest Armorique FC (1982-1991)

Surnoms: Les Ty'Zefs

Couleurs: rouge et blanc

Clubs rivaux: En Avant Guingamp, Stade RennaisFC Lorient

Stade: Francis-Le Blé (15 220 places)

 

La création du club

 

Le club est fondé en 1903 grâce à la création d'une section sportive du patronage Saint-Louis sous le nom de L’Armoricaine de Brest. En 1950, le chanoine Balbous, curé archiprêtre de Saint-Louis, initie une fusion entre cinq patronages catholiques (l'Armoricaine de Saint-Louis, l'Avenir de Saint-Martin, la Flamme du Pilier Rouge, la Milice de Saint-Michel et les Jeunes de Saint-Marc) qui donne naissance au Stade Brestois. La section football avait comme premier président Jean Offret et comme joueur-entraîneur Francis Chopin. L’objectif de cette fusion des clubs catholiques était clair: rivaliser au plus vite avec les laïcs de l’AS Brestoise.

 

Les années 50, une progression rapide

 

- Promotion en 1952, DRH en 1953, puis la DH et le CFA, en 1958, le club commence à affronter des équipes comme Cherbourg, Cholet, Lorient, Caen, le Stade Français, la réserve du FC Nantes ou les rivaux de l’AS Brestoise! À l’époque, Brest est la seule ville de France à posséder deux clubs de CFA! Durant cette période, le Stade Brestois remporte deux Coupes de France: celle de la FSCF en 1956 (Fédération Sportive Catholique de France) et celle des Patronages en 1957 face au CEP Lorient! Deux trophées très "identitaires" de son ancrage catholique.

 

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Photo: ©Stade Brestois

 

Fin des années 60, Le début de l'aventure

 

- À la fin de la décennie 1960, le Stade Brestois est en CFA. Le club flirte régulièrement avec le haut de tableau sans pour autant atteindre l’étage supérieur: troisième en 1967, troisième en 1968 et deuxième en 1969… Mais en 1970, grâce à une nouvelle troisième place, le Stade Brestois va découvrir pour la première fois de son histoire la grande aventure du football professionnel, en accédant à la Division 2.

 

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(haut, de gauche à droite): Lavaud, Lamour, Drevillon, Ropars, Le Trocquer, Cuiffardi, Ribeyre, Tréguer, Le Bihan 

(bas, de gauche à droite): Perrot, Sylvestre, Delorme, Larnicol, Loaec, Craveur, Féchant

 

1979, Première montée en D1

 

- Cette saison 1978-1979 sera à jamais celle de la première montée en division 1. Emmené par son goléador Patrick Martet, un Letemahulu feu-follesque, Loulou Floch qui donnait ses derniers feux d'artifices, Daniel Bernard imperturbable dans les buts, et des petits jeunes prometteurs: Leroux, Kédié, Guennal... Après une ouverture de championnat en demi-teinte, le Stade Brestois se met rapidement à enchaîner les victoires et s'installe à la deuxième place derrière Lens. Mieux, Brest double le Racing lors de la journée qui précède son déplacement dans le Pas de Calais. Les Brestois confirment leur prise de pouvoir en s'imposant de belle manière sur le score de 3 buts à 1 au stade Félix Bollaert. Et validait, sans sourciller, sa montée quelques matches plus tard. La première de son histoire.

 

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(haut, de gauche à droite): Boutier, De Martigny, Guennal, Bernard, Kédié, Le Roux

(bas, de gauche à droite): Floch, Lenoir, Martet, Lemetahulu, Drévillon

Photo: ©Le Télégramme

 

1980, les débuts difficiles

 

- Le plus dur commence maintenant: bâtir une équipe, un groupe capable de lutter face à des cadors comme Saint-Étienne et Nantes mais surtout de se maintenir en D1. Les dirigeants brestois font revenir "l’enfant chéri" des Bretons, Raymond Kéruzoré, ainsi qu’un attaquant international yougoslave de 29 ans, Drago Vabec, qui deviendra, très vite, l’idole du public brestois. Dribbleur, chambreur, buteur… Tout aussi imprévisible que fantasque, il fera vibrer les supporters brestois durant quatre saisons! Cette saison 1979-1980, celle de tous les espoirs en D1, tournera très vite au cauchemar: les défaites s’enchaînent et le Stade Brestois devra attendre la 19ème journée, en décembre pour remporter sa première victoire mais quelle victoire: 5 buts à 1 face à l’Olympique Lyonnais. Les Brestois finiront à la dernière place avec seulement quatre victoires, sept nuls et 27 défaites! Pour autant, à aucun moment de cette triste saison sportive, le public brestois n’abandonnera ses joueurs. Et sa fidélité, sa passion, sont un socle pour bâtir l’avenir. Le club a appris, retenu les leçons et s’est promis de revenir très vite dans l’élite du football français.
 
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(haut, de gauche à droite):Le Roux, Rico, Bernard, Guennal, Kédié
(bas, de gauche à droite): Floch, Lenoir, Justier, Goavec, Kéruzoré, Vabec
Photo: ©DR

 

1987, Le meilleur classement

 

- Le club réalise la meilleure saison en division 1 d'un point de vue arithmétique: 8ème avec 40 points. Alors que la section professionnelle prend le nom de Brest Armorique, afin de mieux préciser la localisation géographique du club, Brest fait parler de lui lors de l'intersaison. Grâce aux centres Leclerc, le club fait signer deux joueurs présents lors de la Coupe du Monde: le brésilien Julio César et le tout nouveau champion du monde argentin, José-Luis Brown. Cette saison est marquée par des performances contradictoires: des difficultés à faire le jeu à domicile et de nombreux 0-0 (18 buts marqués en 19 matchs) mais une redoutable efficacité à l'extérieur: même le futur champion, Bordeaux, subit la loi des Brestois au parc Lescure. En coulisse, la rupture entre le président François Yvinec et l'entraîneur Raymond Kéruzoré conduit à la démission de ce dernier, puis au retrait du principal sponsor.

 

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(Haut, de gauche à droite): Cesar, Brown, Le Guen, Bosser, Sorin, Chaslerie
(Bas, de gauche à droite): Bouquet, Mariini, Goudet, Guérin, Buscher
Photo: ©Pilgrim
 
1991, La chute
 
- Le mégalomane président de Brest Yvinec voulait être l’égal de Claude Bez à Bordeaux ou de Tapie à l’OM. Il connaitra la même destinée avec une chute aussi rapide que brutale. Malgré la 11ème place obtenue par le Brest Armorique en championnat, le déficit important du club entraîne sa relégation administrative en deuxième division. Le club, dont le passif est estimé à 150 millions de francs, dépose le bilan. L'équipe professionnelle est dissoute, les joueurs brestois sont libérés. L'équipe réserve, qui évolue en troisième division, devient l'équipe fanion. Le club prends le nom de "Stade Brestois 29" et stagne les années suivantes dans le monde amateur.
 
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(En haut, de gauche à droite): Kane, Van Herpen, Ferrer, Pierre, GinolaLama
(En bas, de gauche à droite): Milojevic, Cloarec, Bouquet, Salaün, Martins
Photo: ©Le Télégramme
 
2004, La renaissance
 
- Porté par la saison remarquable de deux Ch’tis: Olivier Bogaczyk "idole de Le Blé" et Franck Ribery, alors sans club et qui fera, par la suite, la carrière que l’on connaît, le club termine deuxième de National derrière Reims et retrouve la Ligue 2 récupérant par la même occasion son statut professionnel treize ans après le dépôt de bilan du Brest Armorique. Le club, la ville et les supporters ont pu fêter la montée durant une soirée inoubliable, une nuit de mai dont l'intensité fut proportionnelle à la frustration accumulée par 13 années d'amateurisme. Le maire de la ville, François Cuillandre, avait offert la bière et le jus d'orange aux quelque 5 000 supporters présents place de la Liberté.
 
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Photo: ©Le Télégramme
 
2010, Le retour enfin parmi l'élite
 
- À cette intersaison 2009, arrivent à Brest un mélange de jeunesse (Roux, Grougi ou Lesoimier), des joueurs expérimentés (Daf et le capitaine Ewolo) qui, associés au groupe déjà présent, réaliseront une saison quasi parfaite: Second à la trêve hivernale, ils vont réaliser une seconde partie de saison extraordinaire avec une victoire de prestige 4 buts à 1 face à Nantes à La Beaujoire ! La fête de la montée sera grandiose avec une descente vers la place de la Liberté, dans un autobus à impériale qui mettra plusieurs heures pour réaliser ce court trajet dans une euphorie digne d’une victoire en Coupe du Monde! Dix-neuf ans après son dernier passage en Ligue 1, en mai 1991, le Stade Brestois retrouve l’élite du football français…
 
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(haut, de gauche à droite): Brou Apanga, Daf, Roux, Kantari, Elana, Poyet
(bas, de gauche à droite: Lesoimier, Grougi, Ewolo, Laurenti, Bigné
Photo: ©Marc Ollivier/Ouest France
 

2013, Le difficile apprentissage de la Ligue 1

 

– Après trois saisons en Ligue 1 (2010-2013), les Brestois n'ont pas réussi à se maintenir. Pendant la saison 2010-2011, le club se positionne à la première place du classement, à compter de la 11ème journée et ce, jusqu'à la 14ème, pour dégringoler à la 16ème place à la fin du championnat. En 2011-2012, Brest est le roi des matchs nuls avec 17 rencontres qui se sont soldées par un point. Ils terminent à nouveau en bas du classement (15ème place) et se maintiennent de justesse grâce à un but d'Issam Jemâa lors du dernier match du championnat. En 2012-2013, le Stade Brestois débute bien la saison avec 5 victoires à domicile en 6 matchs. Ils souffrent beaucoup plus à l'extérieur même si à Reims, à la 14ème journée, ils auraient mérité mieux qu'un match nul 0-0. Alors que le club réussissait à domicile, la tendance s'inverse avec, pour la première fois de l'histoire, une victoire de l'Olympique de Marseille 2 buts à 1. À compter de la 28ème journée, Brest perdra 11 matchs d'affilée et descendra en Ligue 2.

 

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(haut, de gauche à droite): Kantari, Baysse, Mendy, Lorenzi, Chafni, Thébaux, Benschop
(bas, de gauche à droite): Soumah, Dernis, Grougi, Culma
Photo: ©Jean-Michel Louarn/Finistère Foot


2019, La remontée en Ligue 1


- Après six saisons en Ligue 2 (2013-2019), le club renoue avec l'élite. Le coach Jean-Marc Furlan est fidèle à sa réputation en réussissant à faire remonter le club en Ligue 1. Gaëtan Charbonnier, meilleur buteur du championnat (27 buts), et Mathias Autret furent notamment les deux artisans de la montée. Dans les buts, Gautier Larsonneur, troisième gardien, devient titulaire en raison de la blessure du gardien n°1, Julien Fabri puis du départ du n°2, Donovan Léon. Il confortera sa place par une saison très réussie, Brest terminant à la 2ème place, derrière Metz.

 

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(haut, de gauche à droite): Larsonneur, Pi, Mayi, Castelletto, Weber, Charbonnier
(bas, de gauche à droite): Belaud, Court, Autret, Belkebla, Bernard
Photo: ©Olivier Stéphan et Stéphane Costard

 

PALMARÈS COMPÉTITIONS NATIONALES

 

Champion de France de D2 en 1981

Vice-champion de France de D2 en 1979, 2010 et 2019

Vice-champion de France de National en 2004

Vainqueur du Groupe D du championnat de CFA en 2000

Champion de DH Ligue Ouest en 1966

Vice-champion de DH Ligue Ouest en 1958, 1964 et 1966

Vainqueur de la Coupe de l'Ouest en 1969

Champion de France des patronages en 1926

Vainqueur de la Coupe de France de la FSF/FSCF en 1956, 1957, 1969 et 1976

Finaliste de la Coupe de France de la FSF/FSCF en 1958, 1962, 1966 et 1970

 

RECORDS

 

Plus large victoire: le 11 avril 1986 contre le SC Bastia (7-0)

Plus large défaite: le 9 décembre 1979 contre le FC Sochaux et le 28 août 2022 contre Montpellier (0-7)

Plus jeune joueur: Lenny Pintor (FRA) 17 ans et 4 mois (le 15 décembre 2017 contre Quevilly-Rouen)

Plus vieux joueur: Christophe Forest (FRA) 37 ans et 1 mois (le 5 mai 2006 contre Caen)

Plus jeune buteur: Mathias Autret (FRA) 18 ans et 11 mois (le 1er février 2010 contre Arles)

Plus vieux buteur: Christophe Forest (FRA) 37 ans et 1 mois (le 5 mai 2006 contre Caen)

Record d'achat: Steve Mounié (BEN) 5 millions d'euros à Huddersfield (2020) et Franck Honorat (FRA) 5 millions d'euros à Saint-Etienne (2020)

Record de venteRomain Faivre (FRA) 15 millions d'euros à l'Olympique Lyonnais (2022)

 

STADE BRESTOIS ALL-STAR


GARDIENS



Steeve Elana (FRA)

René Treguer (FRA)

Daniel Bernard (FRA)

Frédéric Cado (FRA)

Bernard Lama (FRA)

 

DÉFENSEURS

 

Yvon Pouliquen (FRA)

Jocelyn Rico (FRA)

Claude Le Trocquer (FRA)

José Luis Brown (ARG)

Patrick Colleter (FRA)

Yvon Bourgis (FRA)

Richard Honorine (FRA)

Gilles Boulouard (FRA)

Paul Baysse (FRA)

Jean-Pierre Bosser (FRA)

Gilles Kerriou (FRA)

Julio César (BRE)

Pascal Pierre (FRA)

Romain Ouéhi (CIV)

Jean-Luc Le Magueresse (FRA)

Jos Van Herpen (HOL)

Stéphane Sergent (FRA)

Yvon Le Roux (FRA)

 

MILIEUX

 

Benoît Lesoimier (FRA)

Raymond Kéruzoré (FRA)

Olivier Auriac (FRA)

Jean-Claude Ribeyre (FRA)

Vincent Guérin (FRA)

Olivier Guégan (FRA)

Corentin Martins (FRA)

Paul Le Guen (FRA)

Gérard Bernardet (FRA)

Bernard Pardo (FRA)

Franck Ribery (FRA)

Joël Henry (FRA)

Thierry Goudet (FRA)

Oscar Ewolo (CON)

Vladimir Petrovic (YOU)

Bruno Grougi (FRA)

Maurice Bouquet (FRA)

 

ATTAQUANTS

 

Michel Drevillon (FRA)

Patrick Martet (FRA)

Franck Lérand (FRA)

Patrick Parizon (FRA)

Drago Vabec (ex-YOU)

Pascal Mariini (FRA)

Serge Lenoir (FRA)

Gérard Buscher (FRA)

Nolan Roux (FRA)

David Ginola (FRA)

Roberto Cabanas (PAR)

Louis Floch (FRA)

Romain Poyet (FRA)

Olivier Bogaczyk (FRA)

 

ENTRAÎNEURS

 

Alex Dupont (FRA)

Slavoljub Muslin (SER)

Jean-Marc Furlan (FRA)

Francis Chopin (FRA)

Alain De Martigny (FRA)

 

Équipe Type

 

 

Ils ont joué au Stade Brestois

 

Patrick Chaslerie (FRA)

Jonathan Zebina (FRA)

Ismaël Traoré (CIV)

Omar Daf (SEN)

Bernard Mendy (FRA)

Moïse Brou Apanga (GAB)

Michel Sorin (FRA)

Simon Falette (GUI)

Racine Kané (SEN)

Ahmed Kantari (MAR)

Adrian Aliaj (ALB)

Ousmane Coulibaly (MLI)

Mario Lička (RTC)

Slavoljub Muslin (YOU)

Henry Gutierrez (USA)

Diallo Guidileye (MAU)

Lionel Justier (FRA)

Karim Maroc (ALG)

Carlos Tapia (ARG)

Hervé Guégan (FRA)

Robert Malm (TOG)

Alfredo Mendoza (PAR)

Richard Socrier (GLP)

Saïd Hamimi (ALG)

Eden Ben Basat (ISR)

Habib Diallo (SEN)

Jonathan Ayité (TOG)

 

Ils ont débuté au Stade Brestois

 

Gautier Larsonneur (FRA)

Robin Le Normand (FRA)

Brendan Chardonnet (FRA)

Romain Thomas (FRA)

Ibrahima Sissoko (FRA)

Claude Makélélé (FRA)

Adama Ba (MAU)

Ronan Salaün (FRA)

Stéphane Guivarc'h (FRA)

 

Le plus capé de l'histoire du Stade Brestois

 

1) Bruno Grougi (FRA) 307 matchs (2009-2018)

Bruno Grougi.jpg

2) Richard Honorine (FRA) 280 matchs (1975-1994)

3) Steeve Elana (FRA) 246 matchs (2005-2012)

4) René Tréguer (FRA) 230 matchs (1967-1978)

5) Yvan Bourgis (FRA) 227 matchs (2003-2011)

6) Maurice Bouquet (FRA) 219 matchs (1985-1991)

7) Jean-Pierre Bosser (FRA) 200 matchs (1982-1988)

8) Daniel Bernard (FRA) 196 matchs (1978-1984)

9) Bernard Pardo (FRA) 194 matchs (1980-1985)

10) Yvon Le Roux (FRA) 184 matchs (1977-1983)

 

Le meilleur buteur de l'histoire du Stade Brestois

 

1) Franck Lérand (FRA) 109 buts (1988-2002)

Franck Lerand.jpg

2) Marcel Kervel (FRA) 99 buts (1953-1960)

3) Jean-Claude Delorme (FRA) 95 buts (1967-1975)

4) René Daniel (FRA) 86 buts (1966-1974)

5) Gérard Buscher (FRA) 64 buts (1984-1987/1989-1990)

-) Drago Vabec (YOU) 64 buts (1979-1983)

7) André Perrot (FRA) 55 buts (1968-1978)

8) Gaëtan Charbonnier (FRA) 53 buts (2017-2021)

-) Bruno Grougi (FRA) 53 buts (2009-2018)

10) Michel Drevillon (FRA) 50 buts (1969-1980)

 

Autres

 

PALMARÈS COMPÉTITIONS JEUNES/RÉSERVES

 

Vainqueur de la Coupe Gambardella en 1990

Champion de DH Ligue Bretagne en 1972, 1977 et 2005

Vainqueur de la Coupe de Bretagne en 2015

Finaliste de la Coupe de Bretagne en 1972

 

SOURCES/RESSOURCES

 

- Stade Brestois 29

- Brest en Stats

- Ici c'est Brest

- et un grand merci à Johann dit Pilgrim pour sa contribution à l'équipe all-star

- Ainsi que Mathieu Kermarec, fervent supporter du Stade Brestois 29, qui a rédigé les textes de 2013 et 2019



22/01/2016
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