Football-the-story

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Afrique du Sud


Siyabonga Nomvethe

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Photo: ©DR

 

Siyabonga Nomvethe

 

Siyabonga Eugene Nomvethe

Né le 2 décembre 1977 à Durban (AFS)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png Sud-Africain, Attaquant, 1m78

Surnom: "Bhele"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png 82 sélections, 16 buts

(Matchs amicaux: 30 sélections, 5 buts)
(Qualif Coupe du Monde: 16 sélections, 1 but)
(Coupe du Monde: 3 sélections, 1 but)
(Qualif Coupe d'Afrique des Nations: 11 sélections, 2 buts)
(Coupe d'Afrique des Nations: 15 sélections, 5 buts)
(Coupe CONCACAF: 4 sélections, 1 but)
(Coupe COSAFA: 3 sélections, 1 but)
 
1ère sélection : le 6 mai 1999 contre Trinité et Tobago (0-2)
Dernière sélection : le 16 juin 2012 contre le Gabon (3-0)
 
https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png olympique: 4 sélections, 3 buts
 
1997/98 African Wanderers (AFS) 28 matchs, 11 buts
1998/2001 Kaizer Chiefs (AFS) 79 matchs, 42 buts
2001/05 Udinese (ITA) 19 matchs
2004 Salernitana (ITA) (Prêt) 17 matchs, 2 buts
2004/05 Empoli (ITA) (Prêt) 10 matchs
2005 Djurgården IF (SUE) (Prêt) 5 matchs, 1 but
2006 Orlando Pirates (AFS) 14 matchs, 4 buts
2006/09 AaB Alborg (DAN) 68 matchs, 13 buts
2009/16 Moroka Swallows (AFS) 149 matchs, 53 buts
2016/19 AmaZulu (AFS) 70 sélections, 28 buts
 
Sélectionné à 82 reprises avec les Bafana Bafana, Siyabonga Nomvethe a trouvé le chemin des filets à 16 reprises, dont un but de la cuisse (!) face à la Slovénie lors de la Coupe du Monde 2002.
 
Professionnel depuis 1997, l'attaquant sud-africain surnommé "Bhele" était devenu en octobre 2017 le buteur le plus prolifique de l'histoire de la PSL sud-africaine (121 buts marqués).
 
PALMARÈS
 
3ème de la Coupe d'Afrique des Nations en 2000 (Afrique du Sud)
Champion de Suède en 2005 (Djurgården IF)
Champion du Danemark en 2008 (AaB Alborg)
Vice-champion d’Afrique du Sud en 1999, 2001 (Kaizer Chiefs), 2006 (Orlando Pirates) et 2012 (Moroka Swallows)
Champion d’Italie de D2 en 2005 (Empoli)
 
DISTINCTIONS PERSONNELLES
 
Élu footballeur de l'année de la PSL en 2012
Élu joueur de la saison de la PSL en 2012
Meilleur buteur du championnat d’Afrique du Sud en 2012 (20 buts) (Moroka Swallows)

28/05/2019
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Benedict McCarthy

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Photo: ©Phil Cole

 

Benedict McCarthy

 

Benedict Saul McCarthy

Né le 12 novembre 1977 à Le Cap (AFS)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png Sud-Africain, Attaquant, 1m83

Surnom: "Benni"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png 79 sélections, 31 buts*

(Matchs amicaux: 35 sélections, 14 buts)

(Qualif Coupe du Monde: 12 sélections, 3 buts)

(Coupe du Monde: 6 sélections, 2 buts)

(Qualif Coupe d'Afrique des Nations: 9 sélections, 3 buts)

(Coupe d'Afrique des Nations: 12 sélections, 8 buts)

(US Cup: 3 sélections, 1 but)

(Coupe COSAFA: 1 sélection)

(Coupe Afro-Asiatique: 1 sélection)

*32 buts selon certaines sources

 

1ère sélection : le 4 juin 1997 contre les Pays-Bas (0-2)

Dernière sélection : le 27 mai 2010 contre la Colombie (2-1)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png olympique: 3 sélections, 1 but

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png espoirs: 3 sélections

 

1995/97 Seven Stars (AFS) 49 matchs, 35 buts
1997 Ajax Cape Town (AFS) 7 matchs, 3 buts
1997/99 Ajax Amsterdam (HOL) 53 matchs, 24 buts
(Championnat des Pays-Bas: 36 matchs, 20 buts)
(Coupe des Pays-Bas: 7 matchs, 2 buts)
(Coupe de l'UEFA: 5 matchs, 2 buts)
(Ligue des Champions: 5 matchs)
1999/2003 Celta Vigo (ESP) 103 matchs, 30 buts
(Championnat d'Espagne: 66 matchs, 10 buts)
(Coupe d'Espagne: 12 matchs, 3 buts)
(Coupe de l'UEFA: 20 matchs, 11 buts)
(Coupe Intertoto: 5 matchs, 6 buts)
2002 FC Porto (POR) (Prêt) 12 matchs, 13 buts
(Championnat du Portugal: 11 matchs, 12 buts)
(Coupe du Portugal: 1 match, 1 but)
2003/06 FC Porto (POR) 112 matchs, 47 buts
(Championnat du Portugal: 74 matchs, 34 buts)
(Coupe du Portugal: 10 matchs, 4 buts)
(Supercoupe du Portugal: 2 matchs)
(Ligue des Champions: 23 matchs, 9 buts)
(Supercoupe de l'UEFA: 2 matchs)
(Coupe Intercontinentale: 1 match)
2006/10 Blackburn Rovers (ANG) 140 matchs, 52 buts
(Championnat d'Angleterre: 109 matchs, 37 buts)
(Coupe d'Angleterre: 10 matchs, 4 buts)
(Coupe de la ligue anglaise: 9 matchs, 6 buts)
(Coupe de l'UEFA: 10 matchs, 3 buts)
(Coupe Intertoto: 2 matchs, 2 buts)
2010/11 West Ham (ANG) 14 matchs
(Championnat d'Angleterre: 11 match)
(Coupe de la ligue anglaise: 3 matchs)
2011/13 Orlando Pirates (AFS) 31 matchs, 10 buts

 

Joueur sud-africain emblématique, Benedict McCarthy a illuminé les stades en Europe. L’ancien international des Bafana-Bafana est certes l’un des attaquants qui ont tout donné pour leurs nations, mais également à leurs clubs par lesquels ils sont passés.

 

Rapide, efficace, possédant une bonne technique, il a été l’un des joueurs les plus talentueux de sa génération. Dans son pays, alors que le Rugby occupe une place importante dans le cœur des populations, "Benni" a contribué à rendre plus populaire le football en Afrique du Sud. Pourtant sa trajectoire tient d’autant plus du miracle, lui qui a grandi dans un quartier du Cap ravagé par la guerre des gangs et le trafic de drogue. Victime d'une attaque à main armée à Johannesburg quand il était jeune, le mec était destiné à résister à tout. "Je suis en vie. J'ai eu des amis qui n'ont pas cette chance et qui sont morts. Ils ont pris ma montre, mes bijoux, mon argent, j'ai tout donné. La vie est plus importante. " Une bonne raison qu'il a saisit.


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Photo: ©Getty images

 

Après des débuts flamboyants avec les Seven Stars, "Benni" passe dans le tout nouveau club sud-africain: l’Ajax Cape Town. Un passage de quelques mois puisqu'il rejoint ensuite un autre Ajax, celui d’Amsterdam. Deux petites saisons et 20 buts plus tard, il est recruté par le Celta Vigo, où il ne parvient pas à s'imposer. En décembre 2001, il revit grâce à un prêt au FC Porto de l'entraîneur José Mourinho. Malheureusement, le club portugais n'a pas les moyens de conserver le Sud-Africain, qui repart pour une saison galère en Galice. Mais le "Spécial One" n'a pas oublié le buteur et le recrute à l'été 2003. Vainqueur de la Ligue des champions en 2004, Il s'agit de la meilleure saison de sa carrière sur le plan personnel, notamment en championnat, où il inscrit 20 buts et termine meilleur buteur. Il s'éclate et devient peu à peu un élément clé chez les "Dragões", mais toute histoire a une fin. Le Sud-Africain prend la direction de l'Angleterre et s'engage avec les Blackburn Rovers, avec qui il terminera second meilleur buteur de Premier League (18 buts) lors de la saison 2006-2007 derrière un certain Didier Drogba. Il aura toutefois davantage de difficultés à partir de 2009. Son prêt à West Ham marque le début du déclin. Il termine par un retour au pays chez les Orlando Pirates couronné par un titre de champion en 2012.

 

Mais l'attaquant a surtout frappé les esprits en sélection. Avec les "Bafana-Bafana", McCarthy a atteint la finale de la Coupe d'Afrique des Nations en 1998, une CAN lors de laquelle il a terminé meilleur buteur (7 buts) avec la légende égyptienne Hossam Hassan. Lors des phases de poules, il a bluffé tout le monde en plantant quatre pions en seulement 13 minutes contre la Namibie. S’il n’a rien remporté avec sa sélection, il peut se targuer d’avoir participé à deux Coupes du Monde, deux éditions des Jeux olympiques et trois CAN. La grande déception de McCarthy restera sa non-convocation sous les couleurs de la Rainbow Nation pour la Coupe du Monde 2010, organisée au pays. Pré-convoqué par Carlos Alberto Parreira, il ne sera pas retenu dans la liste finale en raison de sa méforme et de quelques écarts de conduite, notamment son surpoids qui a fini par susciter les railleries. Il annonce sa retraite internationale en 2011. Sélectionné à 79 reprises, McCarthy reste à ce jour le recordman absolu de buts marqués avec l'Afrique du Sud (31 buts). Au final, "Benny" a été une boussole pour le football sud-africain, son rayonnement au plan international à montrer la voie aux générations suivantes de la nation. Il mérite donc sa place au panthéon du football sud-africain.

 

PALMARÈS

 

Finaliste de la Coupe d'Afrique des Nations en 1998 (Afrique du Sud)

Vainqueur de la Coupe Afro-asiatique des nations en 1999 (Afrique du Sud)

Vainqueur de la Ligue des champions en 2004 (FC Porto)

Vainqueur de la Coupe intercontinentale en 2004 (FC Porto)

Finaliste de la Supercoupe de l’UEFA en 2003 et 2004 (FC Porto)

Champion du Portugal en 2004 et 2006 (FC Porto)

Vice-champion du Portugal en 2005 (FC Porto)

Champion des Pays-Bas en 1998 (Ajax Amsterdam)

Champion d’Afrique du Sud en 2012 (Orlando Pirates)

Vainqueur de la Coupe du Portugal en 2006 (FC Porto)

Finaliste de la Coupe du Portugal en 2004 (FC Porto)

Vainqueur de la Coupe des Pays-Bas en 1998 et 1999 (Ajax Amsterdam)

Finaliste de la Coupe d'Espagne en 2001 (Celta Vigo)

Vainqueur de la Supercoupe du Portugal en 2003 et 2004 (FC Porto)

 

DISTINCTIONS PERSONNELLES

 

Meilleur buteur de la Coupe d'Afrique des Nations en 1998 (7 buts)

Meilleur buteur du championnat du Portugal en 2004 (20 buts) (FC Porto)

Élu talent de l'année de l'Ajax Amsterdam en 1998

 

VIDÉO

 


28/05/2019
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Jomo Sono

Jomo Sono.jpg
photo: ©DR

 

Jomo Sono

 

Ephraim Matsilela Sono

Né le 17 juillet 1955 à Johannesburg (AFS)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png Sud-Africain, Milieu offensif

Surnoms: Jomo, le prince noir

 

1972/76 Orlando Pirates (AFS)

1977 New York Cosmos (USA) 12 matchs, 1 but

1978 Colorado Caribous (USA) 30 matchs, 8 buts

1979 Atlanta Chiefs (USA) 29 matchs, 5 buts

1980/82 Toronto Blizzard (CAN) 57 matchs, 22 buts

 

Véritable mythe du football sud-africain, qui a côtoyé Pelé et Beckenbauer au Cosmos de New York, Jomo Sono a connu une trajectoire sinueuse qui colle à l’histoire de son pays.

 

Originaire du township de Soweto, plus précisément du quartier d'Orlando East, il est considéré par beaucoup comme le père spirituel du football sud-africain. À Orlando, il s'était fait une réputation avant même de devenir un joueur renommé. L'une de ses anciennes institutrices au début des années 1970 se souvient d'un Sono plutôt "remuant" en classe. Tout dans l’histoire de cet homme respire la légende à commencer par ses débuts dans le football.

 

Né Ephraïm Matsilela Sono dans la township de Soweto, en 1955, il connait une enfance difficile. Son père, talentueux milieu de terrain des Orlando Pirates, l’un des deux principaux clubs de Soweto, meurt dans un accident de voiture lorsque Jomo à 8 ans. Abandonné par sa mère, il est laissé aux soins de ses grands-parents dans une minuscule maison du quartier. L'histoire raconte qu'un jour, il était présent dans le stade pour vendre des pommes aux spectateurs. Avant le match, les Pirates réalisent qu'il leur manque un joueur. Jomo était connu grâce à son père. On lui demande s'il peut enfiler les crampons et vous devinez la suite...

 

Jomo Sono.jpg

photo: ©Lyn Alweis

 

Engagé par les Pirates, il devient le plus jeune professionnel sud-africain. Les fans lui inventent de multiples surnoms, dont Jomo, qui signifie la lance enflammée. Durant l’apartheid, Noirs et Blancs ne jouent pas côte à côte, mais s’affrontent parfois. Le jour de son mariage, son équipe doit disputer un match crucial contre les Blancs de Highlands Park. Mais à la mi-temps les Pirates perdent 2 buts à 0. Lorsqu’il entend le score à la radio, Jomo quitte les festivités. Entré sur le terrain, Il marque deux fois et procure deux occasions décisives à ses coéquipiers. Score final: 4 buts à 2. La légende est en marche! Il est alors un joueur complet qui contrôle le jeu au milieu, soit en délivrant des passes lumineuses à ses coéquipiers ou soit en perforant les défenses balle au pied. Sa polyvalence est aussi visible devant le but. Il est capable de placer une frappe subtile hors de portée du gardien ou de le transpercer d’un tir puissant.

 

Pourtant Jomo fait partie de cette génération sacrifiée, qui n’a jamais pu s’exprimer dans les compétitions internationales, l’Afrique du Sud étant bannie de la FIFA durant l’apartheid. Son seul fait d’arme remonte à 1976, lorsque le gouvernement sud-africain sélectionne une des premières équipes mixtes pour un match amical contre l’Argentine. À cette occasion, Sono inscrit 4 buts et permet à l'Afrique du Sud de s'imposer 5 buts à 0. Mais la gloire l’attend ailleurs. Il quitte donc les Orlando Pirates pour tenter sa chance aux Etats-Unis. Il atterrit alors au New York Cosmos, où il compte parmi ses coéquipiers un certain Pelé. 12 matches, 1 but. Direction les moins rutilants Colorado Caribous la saison suivante (1978). Rebaptisé par la suite Atlanta Chiefs (1979), Jomo Sono effectue une saison en demi-teinte (29 matches, 5 buts) malgré la présence à ses côtés de l'autre star du football sud-africain: Kaizer Motaung.

 

À la fin de sa carrière en 1982, après un passage au Canada, le Prince noir revient au pays. Il rachète le club "blanc" de Highlands Park à Johannesburg, tout un symbole. Il le renomme Jomo Cosmos en hommage à son ancienne équipe et entame une seconde carrière en tant que manager et entraîneur. Président, entraîneur et joueur, il a parcouru les ghettos et les zones rurales du pays pour dénicher de jeunes talents, comme Mark Fish, passé par la Lazio, Phil Masinga, ancien de Leeds UTD et Bari, ou encore l'ancien capitaine Aaron Mokoena passé par Portsmouth. Beaucoup de ses protégés le suivront dans son aventure avec la sélection nationale qu’il emmènera en 1998 en finale de la CAN puis en Corée du Sud et au Japon pour la Coupe du Monde 2002. Le prince noir se voit plus comme un père que comme un coach, et les deux "métiers" ne lui sont pas étrangers puisqu’il a aussi coaché ses fils, tous deux joueurs professionnels. Le chemin qui a conduit Jomo Sono de Soweto à la renommée mondiale, grâce au football, est une source d'inspiration pour petits et grands dans toute l'Afrique du Sud.

 

PALMARÈS

 

Champion d'Afrique du Sud en 1973, 1975 et 1976 (Orlando Pirates)

Champion des Etats-Unis en 1977 (Cosmos new-York)

Vainqueur de la Coupe d'Afrique du Sud en 1973, 1974 et 1975 (Orlando Pirates)

Finaliste de la Coupe d'Afrique du Sud en 1976 (Orlando Pirates)

 

SOURCES/RESSOURCES

 

- FIFA/Afrik-foot


10/10/2017
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Jomo Cosmos

Jomo Cosmos.png
Jomo Cosmos

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png Jomo Cosmos Football Club, fondé le 29 janvier 1983

Reprise de Highlands Park FC

Ancien nom: Dion Cosmos (1983-1984)

Surnom: Ezenkosi

Couleurs: rouge et noir

Ennemis jurésOrlando PiratesKaizer Chiefs

Stade: Edleen Makhulong (10 000 places)

 

L'HISTOIRE


Le club est fondé le 29 janvier 1983 par Jomo Sono, véritable mythe du football sud-africain, qui rachète le club des Higlands Park FC. Le club est renommé Jomo Cosmos en hommage à son ancienne équipe des Cosmos de New-York.


10/10/2017
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Orlando Pirates

Orlando Pirates.jpg
Orlando Pirates

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_5148637_201509255535321.png Orlando Pirates Football Club, Fondé en 1937

Ancien nom: Orlando Boys Club (1937-1944)

Surnoms: Buccaneers, Bucs, Ezikamagebhula, Sea Robbers, Happy People, Ezimnyama Ngenkani

Couleurs: noir et blanc

Clubs rivauxKaizer Chiefs

Stade: Orlando Stadium (37 139 places)

 

La création du club

 

Le club est fondé en 1937. Au début, on trouvait des fils de travailleurs migrants qui avaient quitté les zones rurales pour travailler dans les mines d'or du Gauteng, région dont Johannesburg est la capitale. À Orlando East, le quartier de Soweto où ils s'établissent, ces enfants et ces adolescents jouent dans les rues. Si bien qu'ils se font remarquer par un ancien organisateur de matchs de boxe, Andries Mkhwanazi. Flairant la bonne affaire, l'entrepreneur sportif monte un club de toutes pièces: les Orlando Boys Club. Les gamins jouent sans chaussures ni maillots, mais conquièrent rapidement les habitants de Soweto. Charmé, le public leur trouve alors deux surnoms qui collent encore au club aujourd'hui: "Happy People" et "Buccaneers".

 

ORLANDO PIRATES ALL-STAR

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GARDIENS

 
Senzo Meyiwa (AFS)
Patson Banda (ZAM)
 
DÉFENSEURS
 
Edward Motele (AFS)
Dan Malesela (AFS)
Johannes Khomane (AFS)
Chillyboy Koloba (AFS)
Phil Setshedi (AFS)
Mark Fish (AFS)
Lucky Lekgwathi (AFS)
Andy Karacinski (GAL)
Stuart Lilley (AFS)
Edward Motale (AFS)
Happy Jele (AFS)
 
MILIEUX
 
Thabo Mngomeni (AFS)
Eric Sono (AFS)
Ernest Makhanya (AFS)
Benedict Vilakazi (AFS)
Bernard Hartze (AFS)
Percy Moloi (AFS)
Webster Lichaba (AFS)
John Moeti (AFS)
Kagiso Mogale (AFS)
 
ATTAQUANTS
 
Jerry Sikhosana (AFS)
Dennis Lota (ZAM)
Sibusiso Zuma (AFS)
Jomo Sono (AFS)
Alfred Jacobs (AFS)
Steve Lekoelea (AFS)
Lesley Manyathela (AFS)
Kaizer Motaung (AFS)

10/10/2017
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