Pelé, le roi du football
Edson Arantes Di Nascimento
Né le 23 octobre 1940 à Três Coraçoes (BRE)
Décédé le 29 décembre 2022 à São Paulo (BRE)
Brésilien, Attaquant, 172 cm
Surnoms: "O Rey" ("Le Roi")
92 sélections, 77 buts
(Matchs amicaux: 51 sélections, 37 buts)
(Qualif Coupe du Monde: 6 sélections, 6 buts)
(Coupe du Monde: 14 sélections, 12 buts)
(Copa America: 6 sélections, 8 buts)
(Copa Roca: 4 sélections, 5 buts)
(Copa Bernardo O'Higgins: 2 sélections, 3 buts)
(Copa Oswaldo Cruz: 4 sélections, 5 buts)
(Copa del Atlántico: 2 sélections, 1 but)
1ère sélection : 7 juillet 1957 contre l'Argentine (1-2)
Dernière sélection : 18 juillet 1971 contre la Yougoslavie (2-2)
militaire: 3 sélections, 1 but
Sélection de São Paulo: 13 sélections, 9 buts
Officiels:
1952/56 Bauru AC (BRE) (Jeunes)
1956/74 Santos FC (BRE) 659 matchs, 653 buts
(championnat du Brésil: 83 matchs, 34 buts)
(Taça Brasil: 30 matchs, 30 buts)
(Torneio Roberto Gomes Pedrosa: 57 matchs, 37 buts)
(championnat de São Paulo: 410 matchs, 467 buts)
(Tournoi Rio-São Paulo: 53 matchs, 49 buts)
(Copa Libertadores: 15 matchs, 16 buts)
(Coupe intercontinentale: 3 matchs, 7 buts)
(Supercoupe des champions intercontinentaux: 7 matchs, 3 buts)
(Recopa Sudamericana: 1 match)
1975/1977 Cosmos New-York (USA) 64 matchs, 37 buts
(NASL: 56 matchs, 31 buts)
(Play-offs: 8 matchs, 6 buts)
Non-officiels:
1956/74 Santos FC (BRE) 456 matchs, 446 buts
1957 équipe combiné Santos/Vasco 4 matchs, 6 buts
1961/62 Syndicat des athlètes de São Paulo 2 matchs, 3 buts
1975/1977 Cosmos New-York (USA) 41 matchs, 26 buts
1976 Équipe All-star Américaine 2 matchs
1977/90 Match de bienfaisance 8 matchs, 5 buts
1978 Fluminense (BRE) 2 matchs
1979 Flamengo (BRE) 1 match
militaire: 8 sélections, 13 buts
Total:
Officiels: 831 matchs, 767 buts
Non-officiels: 544 matchs, 517 buts
Total: 1375 matchs, 1284 buts
Pelé représente l’essence même du football brésilien, tout ce qui inspire encore aujourd’hui les plus jeunes joueurs de son pays. Durant ses 21 ans de carrière, il a fasciné la planète par son talent. Il a réalisé des gestes techniques difficiles avec une simplicité déconcertante et a été un buteur prolifique, un meneur de jeu magistral, un passeur hors pair et un maestro aux inspirations géniales hyper complet avec des statistiques de folie et un palmarès international inégalé. N'en déplaisent à certains, Pelé reste, et restera "O Rei". Comme ce célèbre titre lu dans la presse de l'époque: "Comment épelez-vous les 4 lettre de Pelé? D-I-E-U, tout simplement."
Le talent d'Edson Arantes
Il laisse l'image d'un joueur complet aux qualités techniques et physiques hors-normes. Il joue des deux pieds, court vite, possède une incroyable détente verticale (comme sur le but inscrit de la tête en finale de la Coupe du monde 1970) et fait preuve d'un incroyable sang-froid devant le but. Et que dire de son aisance technique sur le terrain qui le faisait passer pour le meilleur de son époque. Il était capable de réaliser les gestes les plus techniques avec une très grande facilité. Il le faisait même beaucoup et régulièrement. Son aisance à réaliser les dribbles les plus compliqués ont construit sa légende. Car c’est bien ce qu’il est depuis toujours au Brésil. Un génie qui a traversé les époques sans jamais se démoder. Respecté comme personne dans un pays qui a vu défiler les stars et les talents, le natif de Três Coraçoes, a rempli de joie ceux de millions de Brésiliens. Le talent de Pelé, c’était la capacité à inscrire des buts venus d’ailleurs dans des moments capitaux. Le jeune Edson Arantes do Nascimento n'a connu que deux clubs dans sa vie: le Santos FC dans son Brésil natale de 1956 à 1974, et les Cosmos New-York en MLS aux Etats-Unis de 1974 à 1977.
Les premiers exploits du prodige
Né dans la ville de Três Coraçoes, comprenez "Trois coeurs" au Brésil, fils d'un ancien footballeur blessé au genou, élevé dans une famille pauvre, celui qu'on appelait "Dico" et qui allait devenir "Pelé" après le surnom de "Belé" donné par les gamins de son âge, débute à Baquinho, équipe de jeunes du Bauru AC. Repéré par Waldemar de Brito, ancien international brésilien des années 30, le petit pauvre un temps cireur de chaussures débarque à Santos après une négociation serrée avec la maman. À son arrivée, Edson s’entraîne déjà avec les pros à 16 ans. Il effectue son baptême chez les professionnels le 7 septembre 1956 face au Corinthians. Premier match et ... premier but. Six mois de prestations concluantes suffisent à convaincre le sélectionneur de l'époque Sylvio Pirillo. Il débute sa carrière auriverde le 7 juillet 1957 contre l'Argentine au Maracana, devant 200 000 spectateurs. Pelé n'a pas encore 17 ans lorsqu'il défend pour la première fois les couleurs jaunes du Brésil, sur la pelouse du Maracana et il inscrit déjà son premier but avec la Seleção. Sa fougue et ses débuts réussis lui permettre d'être sélectionné parmi les vingt-deux joueurs qui se rendent en Suède pour la Coupe du Monde 1958. Blessé, il rate les deux premières rencontres du tournoi, contre l'Autriche (3 buts à 0) et contre l'Angleterre qui, chose étonnante, est le premier 0-0 de l'histoire de la Coupe du Monde. Le sélectionneur Vicente Feola le lance dans le grand bain lors du troisième match de poule contre l'URSS. Une première marche vers la gloire. La Seleção décolle. En quart de finale contre le Pays de Galles, il qualifie son équipe d'un but somptueux et devient alors le plus jeune joueur à marqué à 17 ans et 239 jours. En demi, auteur d'un triplé, il élimine la France, avant de parachever son chef-d'œuvre par un doublé en finale face au pays organisateur la Suède pour une victoire 5 buts à 2. Pelé est en pleurs, Pelé est sacré, Pelé est le nouveau Roi du football. Il devient le plus jeune vainqueur d'un Mondial, à 17 ans, on le rappelle... Le numéro 10, buteur et passeur d'exception, a fait rêver des générations de footballeurs. Rares sont ceux qui, comme lui, ont cette capacité à créer et surprendre l'adversaire par un coup de génie.
Photo: ©Ullstein Bild
Des buts à gogo et des gestes en folie
Mais si Pelé est aussi populaire, c'est aussi pour son action politique et humanitaire. Il collabore notamment avec l'UNESCO pour aider les enfants en difficulté. Un mythe qui cumule les records à peine imaginables. En 1969, Pelé avait inscrit son 1000ème but dans un délire indescriptible au Maracanã, le jour de l'anniversaire de sa maman. Après son penalty victorieux, la rencontre est interrompue. Pelé enfile un maillot spécialement préparé pour l'occasion et entame un tour d'honneur triomphal. Il a fallu près de 30 minutes pour que le jeu reprenne. "Le penalty est une façon lâche de marquer un but.", avait -il confié. La vie est parfois ironique. Il a marqué également six fois cinq buts dans le même match, 30 fois quatre buts et 92 fois trois buts. Contre Botafogo en 1964, il inscrit même huit buts. Au total, il aurait officieusement 1281 buts en 1363 matches mais on ne sait pas si tous les buts inscrit sont officiel (il comptait alors les buts lors des matchs amicaux et à l'entraînement). Par ailleurs le club effectue de nombreuses tournées à travers le Monde, notamment en Europe pour y rencontrer les meilleurs clubs européens qui n'hésitent pas à proposer des ponts d'or pour attirer Pelé, cependant le congrès brésilien décide d'y mettre un terme à ces spéculations en le déclarant "Trésor national brésilien", en vertu de quoi il fait partie du patrimoine du pays et ne peut - comme la récolte de canne à sucre - être exporté qu'avec l'accord du gouvernement. En attendant, "La perle noire" continue d'empiler les buts et les titres au Santos FC. Mais sa légende, l’ancien attaquant l’a surtout construite en réalisant les gestes les plus fous durant près de vingt ans. Capable de tenter un lob sur le portier bulgare Georgi Naydenov depuis le rond central ou de réussir une feinte de corps suivie d’un grand pont sur l'uruguayen Ladislao Mazurkiewicz, le génie a sans cesse innové pour contribuer à l’évolution de son sport, tout en continuant de gagner (deux Copa Libertadores en 1962 et 1963, et deux Coupes intercontinentales, en 1962 et 1963). Avec lui, on touche à l'exceptionnel. Comme ce 5 mars 1961, lors du match Santos-Fluminense au Maracana. Il inscrit le célèbre "Gol de Placa", un but digne d'une plaque commémorative. Il existe d'ailleurs une plaque en bronze à l'entrée du stade qui raconte en quelques mots l'histoire de ce but. Il dribble sept joueurs sur 40 mètres et dans une vitesse fulgurante marque d'un tir croisé à ras de terre. Un véritable bijou. Le public, 150 000 spectateurs ainsi que tous les journalistes, fait une ovation au prodige durant deux minutes. Les rares images qui immortalisent cet instant de grâce, ont hélas été perdues. Pelé émane de lui une fascination qui fait qu'autrefois les gens voulaient le toucher comme on le fait pour un être surnaturel. Sa seule présence à Lagos, en 1970, suffit à faire stopper une guerre civile au Nigeria.
Photo: ©DR
Un roi pour l'éternité
Il est aussi à ce jour, le seul joueur à avoir remporté 3 Coupes du Monde (1958, 1962 et 1970). Même si celle de 1962, sa blessure prématurée ne lui a pas permis d'être considéré vainqueur à proprement parler. La seule qu'il n'a pas réussi à s'offrir (celle de 1966) c'était après avoir été sérieusement blessé par des défenseurs très rugueux, le portugais João Morais et le bulgare Dobromir Zhechev pour ne pas les citer. Les bourreaux en chef du Brésilien, des bouchers impunis, briseurs de rêve. Zhechev confiera plus tard: "J'ai commencé le travail. Morais l'a terminé." Cela dit, sans leur chercher la moindre excuse, Pelé était tellement fort qu’il était le plus souvent inarrêtable à la régulière. En outre à l’époque on était moins sévère avec les défenseurs, et les cartons jaunes n’existaient pas encore, puisqu’ils ont été utilisés pour la première fois à la Coupe du Monde 1970. D'ailleurs les observateurs racontent que c'est sans doute la plus belle Coupe du Monde de toutes celles qui ont été jouées. Ce Brésil était vraiment flamboyante avec ses Carlos Alberto, Gérson, Jairzinho, Tostao et Rivelino en plus de Pelé. Elle atomise d’ailleurs en finale une grande équipe d’Italie sur un score sans appel (4 buts à 1). Le Brésil remporte ses six matchs et inscrit dix-neuf buts. Pelé en marque 4 et sera impliqué sur quatorze des quinze autres, ainsi qu’un total de 28 occasions créées! C'est à l'issue de ce Mondial au Mexique que Pelé décide de prendre sa retraite internationale, fatigué par les nombreuses rencontres, mais surtout fâché avec la fédé brésilienne. Un choix que personne ne comprend. Il joue son dernier match en sélection contre la Yougoslavie le 18 juillet 1971 au Maracana. Plus de 140 000 personnes viennent voir jouer une dernière fois le Roi Pelé sous le maillot de la Seleção, qui demande à son idole de rester avec des "Fica! Fica!" ("Reste! Reste!"), en vain. "Il faut partir quand le public veut qu’on reste, pas quand il veut qu’on s’en aille ", écrira-t-il. Il ne disputera pas la Coupe du Monde en 1974, pourtant crédible physiquement à 34 ans. En tout, il aura inscrit 77 buts en 92 matchs sous le maillot jaune. Il poursuit cependant avec Santos et décide alors de mettre un terme à sa carrière fin 1974 contre Ponte Preta après dix-huit années de présence.
Photo: ©DR
Le Roi is back dans le Cosmos
Mais quelques mois après ce retrait du Monde du football, Pelé rechausse les crampons à cause d'énormes dettes accumulées. Il signe un juteux contrat jamais révélé (estimé de 2,5 à 7 millions de dollars) pour les New-York Cosmos et participe alors à la popularisation du football aux États-Unis. Sur le terrain, le Roi reste le Roi. Il plante en trois saisons 64 buts en 107 matchs. Il termine sa grande vadrouille américaine avec un premier titre de la NASL contre les Seattle Sounders le 27 août 1977 aux côtés de Carlos Alberto, Jomo Sono et Franz Beckenbauer. Toutes les blessures accumulées lors de sa carrière le contraignent à se retirer définitivement en 1977. Pour cela, il boucle la boucle avec un match d'adieu entre les Cosmos de New-York et le Santos FC le 1er octobre 1977 au Giants Stadium, devant environ 75 000 spectateurs, et en présence de son idole Mohamed Ali. Ne pouvant retenir ses larmes au terme de la rencontre, la star brésilienne est portée en triomphe par ses coéquipiers, pour un dernier tour d’honneur au paroxysme de l’émotion. Simplement exceptionnel. Le mot de la fin revient au poète brésilien Carlos Drummond de Andrade: "La difficulté, le côté extraordinaire, ce n'est pas de mettre 1000 buts comme Pelé, c'est de mettre un but comme Pelé." Magnifique.
Photo: ©Alamy
La plus grande légende de ce jeu s'en va
Depuis début décembre 2022, Pelé était placé en soins palliatifs à l'hôpital Albert-Einstein de São Paulo à la suite d'une infection respiratoire. Le Roi ne répondait plus à sa chimiothérapie suivie depuis 2021 en raison d'un cancer du côlon. Et le pire est arrivé ce 29 décembre 2022, où il disparaît à tout jamais à l'âge de 82 ans. Symboliquement, il s'est éteint à deux pas du Morumbi (stade de Sao Paulo), qui devait lui évoquer tant de souvenirs. C'est là que le 11 juillet 1971, il plante un but en amical face à l'Autriche. Sans disputer la seconde mi-temps. Tour d'honneur. Ce sera le dernier de ses 77 buts avec la Seleçao, en 92 matchs. Au final, c'est évidemment un pan entier de l'histoire du foot qui s'en va avec lui, il y laissera sans contestation son empreinte indélébile. Son nom continuera de nous éblouir rien qu'à son évocation, et cela, jusqu'à la fin des temps. On retiendra pour toujours deux moments mythiques archi-connues et immuables de sa carrière. La première lors du Mondial 58 où il éclate aux yeux du monde à l’âge de 17 ans. La seconde sera ce Brésil 70 qui restera l'apothéose de sa carrière et la quintessence du football. Parmi ses déclarations parfois farfelues, il y en avait tout de même une qui lui convenait parfaitement: "Je suis né pour jouer au football, tout comme Beethoven est né pour composer de la musique et Michel-Ange est né pour peindre." Divin. Le football et tous ses amoureux te remercient. Le roi est mort, vive le Roi.
PALMARÈS
Vainqueur de la Coupe du Monde en 1958, 1962 et 1970 (Brésil)
Vainqueur de la Copa Roca en 1957 et 1963 (Brésil)
Vainqueur de la Copa Oswaldo Cruz en 1958, 1962 et 1968 (Brésil)
Vainqueur de la Copa del Atlántico en 1960 (Brésil)
Vainqueur de la Copa Bernardo O’Higgins en 1959 (Brésil)
Vainqueur de la coupe Intercontinentale en 1962 et 1963 (Santos FC)
Vainqueur de la Supercoupe des champions intercontinentaux en 1968 (Santos FC)
Vainqueur de la Copa Libertadores en 1962 et 1963 (Santos FC)
Champion du Brésil en 1961, 1962, 1963, 1964, 1965 et 1968 (Santos FC)
Vice-champion du Brésil en 1959 et 1966 (Santos FC)
Champion des Etats-Unis en 1977 (Cosmos New-York)
Vainqueur du championnat de São Paulo en 1956, 1958, 1960, 1961, 1962, 1964, 1965, 1967, 1968, 1969 et 1973 (Santos FC)
Finaliste du championnat de São Paulo en 1957 et 1959 (Santos FC)
Vainqueur du Tournoi Rio-São Paulo en 1959, 1963, 1964 et 1966 (Santos FC)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Élu meilleur joueur mondial du 20ème siècle en 1999
Élu meilleur joueur Sud-Américain du 20ème siècle en 1999
Élu meilleur joueur du 20ème siècle par France Football en 2011
Élu meilleur joueur FIFA du 20ème siècle en 2000
2ème meilleur buteur de la Coupe du Monde en 1958 (6 buts)
Meilleur buteur de la Copa America en 1959 (9 buts)
Meilleur buteur de la Copa Roca en 1957 (2 buts) et 1963 (3 buts)
Meilleur buteur de la Copa Libertadores en 1965 (8 buts) (Santos FC)
11 fois meilleur buteur du championnat de São Paulo en 1957 (17 buts), 1958 (58 buts), 1959 (45 buts), 1960 (33 buts), 1961 (47 buts), 1962 (37 buts), 1963 (22 buts), 1964 (34 buts), 1965 (49 buts), 1969 (26 buts) et 1973 (11 buts) (Santos FC)
Meilleur buteur de la Taça Brasil en 1961 (9 buts) et 1964 (7 buts) (Santos FC)
Meilleur buteur du tournoi de Rio-São Paulo en 1963 (14 buts) (Santos FC)
Élu meilleur joueur Sud-Américain de l’année en 1973
2ème meilleur joueur Sud-Américain de l’année en 1972
Élu meilleur joueur de la Coupe du Monde en 1970
Élu 2ème meilleur joueur de la Coupe du Monde en 1958
Élu meilleur jeune joueur de la Coupe du Monde 1958
Élu meilleur joueur de la Copa America en 1959
MVP de l’année de la NASL en 1976
Élu joueur de l’année de la zone CONCACAF en 1976
À reçu le Ballon d’or d’honneur en 2013
Élu parmi les "légendes" du foot par Golden Foot en 2012
Élu meilleur joueur du 20ème siècle par le magazine anglais "World Soccer"
Élu meilleur joueur de l’histoire du continent sud-américain par le magazine "L'Equipe" en 2015
À reçu l’Ordre du Mérite de la FIFA en 1984
À reçu le prix du Centenaire de la FIFA en 2004
Nommé dans l’équipe mondiale du 20ème siècle
Nommé dans l’équipe type Sud-Américaine du 20ème siècle
Nommé dans l’équipe historique de la Copa America
Nommé dans l’équipe type de tous les temps de la Coupe du Monde FIFA en 1994
Nommé dans la Dream-Team FIFA de la Coupe du Monde en 2002
Nommé dans la Dream-Team Sud-Américaine 1958-2008
Nommé dans le onze type de tous les temps par la magazine anglais "World Soccer" en 2013
Nommé dans l'équipe type du tournoi de la Coupe du Monde 1958 et 1970
Nommé dans l'équipe type mondial de l'année en 1960, 1961, 1962, 1963, 1964, 1965 et 1966 par le magazine anglais "World Soccer"
Intronisé à l'American National Soccer Hall of Fame en 1993
Intronisé au Hall of Fame du football brésilien en 2010
Élu Athlète du siècle par le Comité International Olympique (CIO) en 1999
Élu Athlète du siècle par l'agence de presse Reuters en 1999
Élu Athlète du siècle par les journalistes mondiaux de l'Equipe en 1981
Élu sportif internationale de l'année par BBC Sport en 1970
Obtient le Lifetime Achievement Award par BBC Sports en 2005 pour sa carrière professionnelle
Obtient le Laureus World Sport Awards pour l'ensemble de sa carrière en 2000
Nommé Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique en 1997
Inclus dans les 100 personnes les plus importantes du 20ème siècle par le magazine "Time" en 1999
À reçu un diplôme honorifique par l'Université d'Edimbourg en 2011 pour ses exploits sportifs et sa contribution aux causes humanitaires
Ministre des sports du Brésil de 1994 à 1999
Grand prix de l'académie des Sports en 1970
Prix international de la paix
Nommé Chevalier de la Légion d'Honneur en 1963
Nommé Chevalier de l'Ordre de Rio Branco en 1967 puis Commandeur en 1969
À reçu l'Ordre du Mérite de la République Hongroise en 1994
Ambassadeur pour l'ONU et l'UNESCO à l'éducation, l'écologie et l'environnement
VIDÉO
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 1334 autres membres