Football-the-story

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Julio Olarticoechea

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Photo: ©Alessandro Sabattini/Getty Images

 

Julio Olarticoechea

 

Julio Jorge Olarticoechea

Né le 18 octobre 1958 à Saladillo (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Défenseur/Latéral/Milieu défensif, 1m70

Surnom: "El Vasco"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 28 sélections

(Matchs amicaux: 11 sélections)

(Coupe du Monde: 12 sélections)

(Copa America: 5 sélections)

 

1ère sélection : le 12 mai 1983 contre le Chili (2-2)

Dernière sélection : le 3 juillet 1990 contre l'Italie (1-1)

 

1975/81 Racing Club (ARG) 230 matchs, 13 buts
1981/84 River Plate (ARG) 106 matchs, 3 buts
1985/86 Boca Juniors (ARG) 44 matchs, 4 buts
1987 FC Nantes (FRA) 29 matchs, 3 buts
(Championnat de France: 27 matchs, 3 buts)
(Coupe de l'UEFA: 2 matchs)
1987/88 Argentinos Juniors (ARG) 25 matchs, 2 buts
1988/90 Racing Club (ARG)
199/92 Deportivo Mandiyu (ARG) 61 matchs, 4 buts

 

Défenseur, latéral ou milieu défensif argentin plutôt rugueux, Julio Olarticoachea a participé à trois coupes du Monde consécutives, avec un titre de champion en 1986 et une finale perdue en 1990 avec Diego Maradona. Assez petit et très râblé, il faisait partie des joueurs dont on parlait peu mais qui étaient toujours là aux bons moments. Pourtant, il ne laissera pas un souvenir impérissable aux supporters du FC Nantes.

 

Formé au Racing Club, Olarticoechea, un nom à forte résonnance basque (littéralement la "maison du forgeron") explose à River Plate grâce à sa puissance et sa bonne technique en mouvement. Transféré chez l'ennemi juré du Boca Juniors en 1985, le traître chanceux peut surtout se targuer d’être le seul joueur de l’histoire dont le nom a été ovationné par les supporters de River et Boca dans un même Superclásico. Appelé en sélection dès 1982, il est d'abord remplaçant avant de s'installer définitivement au poste de milieu latéral non loin des travailleurs Sergio Batista et Ricardo Giusti dans le 3-5-2 concocté par Carlos Bilardo lors des Coupes du monde 1986 et 1990. Si le chapitre mexicain s’est conclu sur des larmes de bonheur, l’édition italienne s’est bouclée par un statut de finaliste au cœur lourd. D'ailleurs, après celle gagnée durant laquelle il a participé à tous les matchs de l’Albiceleste, le champion du monde traverse l'Atlantique et débarque au FC Nantes, où il retrouve son compatriote Jorge BurruchagaCoco Suaudeau compte sur lui pour devenir l’un des hommes de base de ses Canaris. Il joue 27 matches comme récupérateur, mais l’équipe ne convainc pas et termine sur une anonyme 12ème place. "El Vasco" ne s’est jamais adapté et repart sur la pointe des pieds, revendu à Argentinos Juniors au prix où il l’avait été acheté. Le premier flop argentin des Canaris puisqu'il n'a jamais répondu à la hauteur des attentes suscitées.

 

PALMARÈS

 

Vainqueur de la Coupe du Monde en 1986 (Argentine)

Finaliste de la Coupe du Monde en 1990 (Argentine)

4ème de la Copa America en 1987 (Argentine)

Champion d’Argentine en 1981 (Nac.) (River Plate)



24/05/2022
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