Football-the-story

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Argentine


Hugo Gatti

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Photo: ©L'Équipe

 

Hugo Gatti

 

Hugo Orlando Gatti

Né le 19 août 1944 à Carlos Tejedor (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Gardien de but, 1m85

Surnom: "El Loco"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 18 sélections

(Matchs amicaux: 12 sélections)

(Copa America: 4 sélections)

(Copa Del Atlantico: 2 sélections)

 

1ère sélection : le 13 octobre 1967 contre le Paraguay (1-1)

Dernière sélection : le 5 juin 1977 contre la RFA (1-3)

 

1962/63 Atlanta (ARG) 30 matchs
1964/68 River Plate (ARG) 77 matchs
1969/74 Gimnasia La Plata (ARG) 224 matchs
1975 Unión Santa Fe (ARG) 45 matchs
1976/89 Boca Juniors (ARG) 381 matchs, 1 but
 
Gardien de but de l'Albiceleste dans les années 1960 et 1970, Hugo Gatti était capable de tout. Des parades de félin aux gags loufoques. Cheveux longs et traits d'indien, "El Loco", comme il est surnommé, avait un style inimitable et une gueule mais surtout, était une authentique légende vivante du football argentin!
 
Mais Hugo Gatti, c'est avant tout une longévité exceptionnelle, de ses débuts à Atlanta en 1962 à son départ de Boca en 1988, à 44 ans. Une carrière longue de 26 ans, défendant notamment les cages du Gimnasia La Plata, de River Plate mais surtout celles des Xeneizes, où il est devenu une idole emblématique à La Bombanera en douze saisons. Le portier argentin y a gagné trois titres de champion, s'installant notamment en portier inamovible du grand Boca de Toto Lorenzo, double vainqueur de la Libertadores en 1977 - c'est lui qui offre pour la première fois de l'histoire le trophée à Boca en repoussant le tir au but de Vanderley du Cruzeiro - et 1978 ainsi que lauréat de la Coupe Intercontinentale 1977 contre le Borussia Mönchengladbach de Berti Vogts et Rainer Bonhof, avec un succès mémorable 3 buts à 0 en Allemagne. Face au football léché pratiqué par ses rivaux de River, Independiente ou Huracan dans les seventies, Boca adopte alors une recette incarnée à merveille par son fantasque portier: grinta, sueur, solidarité et surtout cojones (ou "huevos", comme on dit en Argentine). Car l'inventif Gatti a lui-même imaginé une action marquante digne d'un kamikaze appelé le "coup de Dieu": dès qu'il sortait de ses buts et se retrouver en face à face avec son adversaire, Gatti pliait les genoux à terre et bombait le torse en étendant les bras en croix, dans une posture quasi christique, le visage fier tourné vers l’attaquant en position de tir. Un geste reconnu comme efficace et repris par beaucoup. Pourtant, malgré cette réussite en club, Gatti ne connaît pas le même succès en sélection. Déjà doublure d'Antonio Roma à la Coupe du Monde 1966, le natif de Buenos Aires se dispute ainsi pendant des années la place de numéro 1 de l'Albiceleste avec Ubaldo Fillol, jusqu'à ce que Menotti tranche définitivement en faveur du portier de River, titularisé pour les Mondiaux 1978 et 1982. Il prétextera qu'il a refusé de venir par opposition à la sélection des Argentins évoluant à l'étranger. Puis de clamer sa supériorité dans la presse, déclarant en 1982: "Je suis le meilleur de tous et ce n’est pas la peine de lancer des polémiques sur nos styles différents, notre complémentarité avec les autres joueurs, puisque je suis le meilleur de tous!" Élu meilleur joueur argentin en 1982, recordman des apparitions (Plus de 700 matchs) et des pénaltys arrêtés en première division argentine (26 au total), le joueur aux dix-huit sélections restera connu pour son look spectaculaire (short moulant et bandeau dans les cheveux) et surtout ses excentricités. Dans un Boca-River, il se met à balayer sa surface avec un balai lancé par les supporters adverses. Une autre fois, gagné par l'ennui, il se pose tranquillement sur la barre transversale. Son seul regret? Avoir traité Maradona de "petit baril". El Pibe lui en plante quatre le lendemain pour le punir. L’année suivante, Diego enfile le maillot boquense et les deux hommes deviendront copains. Sans rancune.
 
PALMARÈS
 
Finaliste de la Copa del Atlántico en 1976 (Argentine)
Vainqueur de la Copa Libertadores en 1977 et 1978 (Boca Juniors)
Vainqueur de la Coupe intercontinentale en 1977 (Boca Juniors)
Champion d'Argentine en 1976 (Met.), 1976 (Nac.) et 81 (Met.) (Boca Juniors)
Vice-champion d'Argentine en 1965, 1966 (River Plate), 1978 (Met.) et 1989 (Boca Juniors)
 
DISTINCTIONS PERSONNELLES

À reçu le diplôme du mérite par la fondation argentine "Konex" en 1990
 

06/01/2022
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Gerardo Martino

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Photo: ©DR

 

Gerardo Martino

 

Gerardo Daniel Martino

Né le 20 novembre 1962 à Rosario (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Milieu offensif, 1m75

Surnom: "El Tata"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 1 sélection

(Match amical:1 sélection)

 

1ère et dernière sélection : le 19 février 1991 contre la Hongrie (2-0)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png U20: 2 sélections

 

1980/90 Newell’s Old Boys (ARG) 392 matchs, 35 buts
1991 Tenerife (ESP) 15 matchs, 1 but
1991/94 Newell’s Old Boys (ARG) 81 matchs, 2 buts
1994/95 Lanús (ARG) 30 matchs, 3 buts
1995 Newell’s Old Boys (ARG) 15 matchs
1996 O'Higgins (CHL)
1996 Barcelona SC (EQU) 5 matchs

 

Gerardo Martino est une des grandes idoles de Newell's Old Boys.

 
Joueur ayant disputé le plus grand nombre de rencontres avec la liquette du club de Rosario, il est également l'un des plus titrés des "Leprosos" avec trois titres de champion d'Argentine. Il a fait partie de cette fameuse équipe vainqueur de la Primera Division en 1988. La seule dans l'histoire à être sacrée championne avec onze joueurs exclusivement formés au club. Pas étonnant pour l'ancien numéro 10 du Niouls alors de devenir entraîneur par la suite. Adepte d’un jeu court et offensif en mouvement, il emmène son équipe de toujours en 1999 à un nouveau titre national, leur premier depuis 10 ans. Pour son unique passage en Europe, il débarque au FC Barcelone à l’été 2013 et passe une saison en Catalogne au terme de laquelle ils perdent le titre lors de la dernière journée sur la pelouse de l’Atlético de Madrid. Son seul véritable échec pour celui qui avait affronté les Blaugrana en tant que joueur de Tenerife au début des années 90. Lui qui a réussi à peu près partout sur le continent américain. Relancé par Atlanta United puis champion de MLS en décembre 2018, l’ancien sélectionneur du Paraguay et de l’Argentine - qu’il a mené en finale de Copa América en 2011 puis 2015 - a pris en main l'équipe nationale du Mexique.
 
PALMARÈS
 
Finaliste de la Copa Libertadores en 1988 (Newell's Old Boys)
Champion d'Argentine en 1988, 1991 et 1992 (Clau.) (Newell's Old Boys)
Vice-champion d'Argentine en 1986 et 1987 (Newell's Old Boys)

23/11/2021
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Claudio Borghi

Claudio Borghi.jpg
Photo: ©DR

 

Claudio Borghi

 

Claudio Daniel Borghi Bidos

Né le 28 septembre 1964 à Castelar (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Milieu offensif, 1m81

Surnom: "El Bichi"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 6 sélections, 1 but

(Matchs amicaux: 4 sélections, 1 but)

(Coupe du Monde: 2 sélections)

 

1ère sélection : le 14 novembre 1985 contre le Mexique (1-1)

Dernière sélection : le 10 juin 1986 contre la Bulgarie (2-0)

 

1981/87 Argentinos Juniors (ARG) 59 matchs, 10 buts
1987/88 Milan AC (ITA)
1987 Côme (ITA) (Prêt) 7 matchs
1988 Neuchâtel Xamax (SUI)
1988/89 River Plate (ARG) 19 matchs
1989 Flamengo (BRE) 4 matchs
1990 Independiente (ARG)
1990/91 Unión de Santa Fe (ARG) 12 matchs, 1 but
1991/92 Huracán (ARG) 22 matchs, 2 buts
1992 Colo-Colo (CHL) 21 matchs, 5 buts
1992/93 Platense (ARG)
1994 Correcaminos UAT (MEX) 10 matchs
1995 O'Higgins (CHL) 22 matchs, 4 buts
1995/98 Audax Italiano (CHL)
1998/99 Santiago Wanderers (CHL) 12 matchs

 

Fin technicien, une belle réussite à Argentinos Juniors, Claudio Borghi a même été considéré comme le premier des "nouveaux Maradona" espérés par l’Argentine. Mais ce milieu offensif très prometteur a déçu.

 

Né à Castelar, dans la banlieue de Buenos Aires, le jeune homme aux yeux et cheveux très noirs n'a pas connu une enfance facile. Après la disparition de son père, Claudio est élevé par sa grand-mère et n'a pas d’autres choix que de travailler afin d’aider son abuelita à joindre les deux bouts. Mais la mamie a le nez creux. Elle sent que son protégé a quelque chose de spécial et l’emmène à Luz y Fuerza, un club de la ville. Elle ne s’est pas trompée! Peu de temps après, son nouveau club joue une partie contre la grande équipe d’Argentinos Juniors. Un recruteur du club est séduit par la technique du petit Claudio et lui ouvre les portes à La Paternal. Mais cette équipe a déjà dans ses rangs un numéro 10 qui commence à se faire connaître en la personne de Diego Maradona. Le prodige argentin rejoint Boca Juniors en 1981, il a alors 21 ans. Lui débute et vient tout juste de souffler ses 17 bougies. Pourtant il ne fera dès lors que des apparitions épisodiques au sein de l'équipe-fanion. Il devra attendre le départ de l'avant-centre Pedro Pasculli, qui émigre en Italie, pour être enfin titularisé fin 84, avec d’autres atouts dans son jeu. Désormais les accrochages et l’antijeu ne l’impressionne plus. Argentinos Juniors remporte cette année-là le championnat "métropolitain". L'année suivante, Borghi est titulaire à part entière, son club gagne cette fois le championnat "Nacional". C'est le début de la grande aventure. Les "Bichos Colorados" enlève l'Interamericana et la Copa libertadores en 1986. En six apparitions, Claudio inscrit sept pions. En décembre, à Tokyo, il est éblouissant lors de la finale de coupe intercontinentale que son équipe perd de justesse au terme d'un match palpitant contre la Juventus Turin de Michel Platini. Une défaite aux tirs aux buts après un match nul 2-2. À la fin de la rencontre, Platoche dira dans les journaux italiens que Borghi est "le Picasso du football". Carlos Bilardo, le sélectionneur argentin, ne peut rester insensible à la révélation d'un tel talent pour la Coupe du Monde au Mexique. S’il dispute deux des trois matchs du premier tour, c’est bien du banc de touche que Borghi assiste aux exploits de ses compatriotes et notamment de Maradona. Pas grave, "El Bichi" comme on le surnomme est champion du Monde en 1986 avec le "Pibe de Oro". Ses performances lui permettent de débarquer en Europe au Milan AC du sulfureux président Silvio Berlusconi, qui a payé plus cher que le Matra Racing pour s'attacher ses services. Mais il n'y a seulement que deux places d'étrangers, réservé déjà aux néerlandais Marco Van Basten et Ruud Gullit venu prendre la place des anglais Ray Wilkins et de Mark Hateley. De plus, Arrigo Sacchi ne croît pas en lui. Il part alors en prêt à Côme. L’été suivant, il retourne à Milan qui peut désormais aligner trois étrangers... manque de chance, Frank Rijkaard sera une demande catégorique du coach italien. Sa carrière ne redécollera plus. Après une saison en Suisse, Claudio retourne où il joue le mieux: en Amsud. Mais Claudio a la bougeotte. Il écume les clubs au Brésil, en Argentine et au Chili, où il entame une carrière d’entraîneur une fois les crampons raccrochés.

 

PALMARÈS

 

Vainqueur de la Coupe du Monde en 1986 (Argentine)

Vainqueur de la Copa Libertadores en 1985 (Argentinos Juniors)

Vainqueur de la Copa Interamericana en 1985 (Argentinos Juniors) et 1991 (Colo-Colo)

Vainqueur de la Recopa Sudamericana en 1992 (Colo-Colo)

Champion d'Argentine en 1984 (Met.) et 1985 (Nac.) (Argentinos Juniors)


28/09/2021
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Juan Ramon Veron

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Photo: ©Archivo General de la Nacion

 

Juan Ramón Verón

 

Né le 17 mars 1944 à La Plata (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Milieu offensif/Ailier gauche, 1m77

Surnom: "La Bruja"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 4 sélections

(Matchs amicaux: 4 sélections)

 

1ère sélection : le 4 avril 1969 contre le Paraguay (0-0)

Dernière sélection : le 12 janvier 1971 contre la France (2-0)

 

1962/72 Estudiantes (ARG) 295 matchs, 77 buts
1972/74 Panathinaikos (GRE) 57 matchs, 22 buts
1975 Estudiantes (ARG) 43 matchs, 9 buts
1976/77 Atlético Junior (COL) 85 matchs, 34 buts
1978/79 Cúcuta Deportivo (COL) 39 matchs, 21 buts
1980/81 Estudiantes (ARG) 35 matchs, 9 buts


"La Brujita" Juan Sebastian Veron avait de qui tenir... Trois décennies plus tôt, son père Juan Ramon Veron, dit "La Bruja", s'était lui aussi affirmé comme une légende d'Estudiantes.

 

Coaché par Osvaldo Zubeldia et ses méthodes révolutionnaires, mené par son capitaine Carlos Bilardo, le club de La Plata rafle tout sur son passage à la fin des années 60, grâce à sa génération dorée baptisée "La tercera que mata": championnat d'Argentine en 1967 (premier titre échappant à l'un des cinq grands du football argentin), trois Copa Libertadores consécutives de 1968 à 1970 (premier club sud-américain à réaliser le triplé) ainsi que la seule et unique Coupe Intercontinentale des Pinchas en 1968 face au Manchester United de Bobby CharltonGeorge Best et Denis Law. Attaquant polyvalent, pouvant jouer ailier gauche voire milieu offensif, Veron se montre régulièrement décisif dans les grands rendez-vous: il marque alors un but à chacune des trois rencontres de la finale de l'édition 1968 contre Palmeiras, et en Coupe Intercontinentale, c'est lui qui ouvre le score au retour à Old Trafford – but considéré par beaucoup d'hinchas platenses comme le plus important de l'histoire du club. Mais à la différence d'autres grands goleadores argentins, il n'était pas qu'un simple renard des surfaces, il associait également souvent l'esthétisme à l'efficacité, profitant de sa technique supérieure. Les Argentins gardent notamment en mémoire sa fameuse "chilena" face au Racing ou encore son slalom dans la défense de Palmeiras en finale de Libertadores, but "maradonesque" avant l'heure. S'il effectue des passages au Panathinaïkos et à l'Atlético Junior – qu'il mène à son premier titre de champion de Colombie en 1977 – Veron revient à La Plata après chaque expérience à l'étranger. Et c'est encore "El Doctor" Bilardo qui parle le mieux de ce lien unique existant entre son ancien coéquipier et son club de toujours: "Pour qu'on se rende compte de l'importance de "La Sorcière" pour Estudiantes, c'était du même ordre que Pelé pour Santos."

 

PALMARÈS

 

Vainqueur de la Copa Libertadores en 1968, 1969 et 1970 (Estudiantes)

Vainqueur de la Coupe intercontinentale en 1968 (Estudiantes)

Finaliste de la Coupe intercontinentale en 1969 et 1970 (Estudiantes)

Vainqueur de la Copa Interamericana en 1968 (Estudiantes)

Champion d'Argentine en 1967 (Met.) (Estudiantes)

Vice-champion d'Argentine en 1967 (Nac.), 1968 (Met.) et 1975 (Nac.) (Estudiantes)

Champion de Colombie en 1977 (Atlético Junior)

Vice-champion de Grèce en 1974 (Panathinaikos)


22/09/2021
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Néstor Clausen

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Photo: ©Paul Popper/Popperfoto

 

Néstor Clausen

 

Néstor Rolando Clausen

Né le 29 septembre 1962 à Arrufo (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Défenseur droit, 1m76

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 26 sélections, 1 but

(Matchs amicaux: 13 sélections)

(Qualif Coupe du Monde: 5 sélections, 1 but)

(Coupe du Monde: 1 sélection)

(Copa America: 7 sélections)

 

1ère sélection : le 23 juin 1983 contre le Chili (1-0)

Dernière sélection : le 16 juillet 1989 contre le Paraguay (0-0)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png U20: 3 sélections

 

1980/88 Independiente (ARG) 260 matchs, 7 buts
1989/94 FC Sion (SUI) 73 matchs, 2 buts
1994/95 Racing Club (ARG) 22 matchs
1995/96 Independiente (ARG) 15 matchs
1997/98 Arsenal de Sarandí (ARG) 12 matchs
 
Champion du Monde 1986 avec l'Albiceleste aux côtés d'un certain Diego Maradona, le défenseur Néstor Clausen a connu ses plus belles années à l'Independiente et au FC Sion en Suisse, son deuxième pays.
 
Sous le maillot de l'équipe d'Avellaneda, il remporte le Metropolitano 1982 et la Copa Libertadores en 1984. Outre-Jura, il s'offre la Coupe de Suisse en 1991 et la Super League l'année suivante.
 
PALMARÈS
 
Vainqueur de la Coupe du Monde en 1986 (Argentine)
Vainqueur de la Copa Libertadores en 1984 (Independiente)
Vainqueur de la Coupe intercontinentale en 1984 (Independiente)
Vainqueur de la Supercopa Sudamericana en 1985 (Independiente)
Champion d'Argentine en 1983 (Met.) (Independiente)
Vice-champion d'Argentine en 1982 (Met.) et 1996 (Ap.) (Independiente)
Champion de Suisse en 1992 (FC Sion)
Vice-champion de Suisse en 1991 (FC Sion)
Vainqueur de la Coupe de Suisse en 1991 (FC Sion)

08/09/2021
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