Football-the-story

Football-the-story

Javier Zanetti

Javier Zanetti.jpg
Photo: ©DR

 

Javier Zanetti

 

Javier Adelmar Zanetti

Né le 10 août 1973 à Buenos Aires (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Défenseur droit/Milieu droit, 1m78

Surnoms: Pupi, le tracteur

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png 143 sélections, 4 buts

(Matchs amicaux: 54 sélections, 2 buts)

(Qualif Coupe du Monde: 51 sélections, 1 but)

(Coupe du Monde: 8 sélections, 1 but)

(Copa America: 22 sélections)

(Coupe des Confédérations: 8 sélections)

 

1ère sélection : le 16 novembre 1994 contre le Chili (3-0)

Dernière sélection : le 16 juillet 2011 contre l'Uruguay (1-1)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png olympique: 12 sélections

 

1992/93 CA Talleres (ARG) 33 matchs, 1 but

(Championnat d'Argentine de D2: 33 matchs, 1 but)

1993/95 Banfield (ARG) 66 matchs, 4 buts

(Championnat d'Argentine: 66 matchs, 4 buts)

1995/2014 Inter Milan (ITA) 821 matchs, 27 buts

(Championnat d'Italie: 615 matchs, 12 buts)

(Coupe d'Italie: 71 matchs, 3 buts)

(Supercoupe d'Italie: 7 matchs)

(Ligue des Champions: 82 matchs, 1 but)

(Coupe de l'UEFA: 43 matchs, 3 buts)

(Supercoupe d'Europe: 1 match)

(Coupe du Monde des clubs: 2 matchs, 1 but)

 

Le 10 mai 2014 restera dans l'histoire du football comme le dernier match au Giuseppe Meazza de Javier Zanetti. Après 19 saisons à l'Inter dont 15 comme capitaine, ce joueur légendaire faisait ces adieux à son public sous ses couleurs de toujours.
 
Première recrue du président Massimo Moratti, il prend sa retraite six mois après ce dernier, symbole d'une ère et d'une page qui se tourne. Un moteur à la place du corps, infatigable travailleur, Zanetti demeure à ce jour avec 858 rencontres disputées, le joueur ayant disputé le plus grand nombre de rencontres sous la tunique de l’Inter. Capable de jouer arrière latéral sur les deux flancs, il peut aussi occuper les postes de milieu défensif, central, relayeur, mais aussi latéral ou ailier, balle au pied il ne perd quasiment jamais le ballon. Toujours collectif, la plus grande qualité de Zanetti est qu’il ne se prend que très peu de cartons, ce qui assure toujours à son entraîneur sa disponibilité, cette capacité à jouer tous les matchs à fond est une autre grande qualité.
 
Né le 10 août 1973 à Buenos Aires dans le quartier d’Avellaneda, il est approché par son club de cœur, l'Independiente, et intègre le centre de formation à l'âge de 9 ans. Mais en 1989, le club décide de ne pas miser sur lui, le jugeant trop frêle. Après un an à étudier et à aider son père maçon, il revient dans le football en 1991, dans l'équipe réserve du club de Talleres, où évolue son frère Sergio. C'est une pleine réussite et la saison suivante, il évolue en équipe première, en seconde division. Il marque son premier but le 20 mars 1993 contre l'Arsenal de Sarandì. Son année est impressionnante et il est une grande promesse. En fin de saison, il est recruté par Banfield, alors en première division. Il devient tout de suite un titulaire indiscutable et ses performances lui valent même le privilège d’être appelé en sélection argentine. Il honore le 16 novembre 1994, à 21 ans seulement, sa première sélection face au Chili. Fin de saison 1995, il dispute la Copa America et la Coupe des Confédérations avec l'Albiceleste. Très courtisé en Europe, il débarque à l'Inter Milan le 5 juin 1995 en tant que première recrue du président Moratti, en compagnie de Sébastien Rambert. Le 27 août 1995, il est tout de suite titulaire face à Vicenza, pour la première journée de Série A et ne manquera que deux matchs lors de sa première saison.

Javier Zanetti.jpg
 
Dès les premiers instants, il démontre toute l’étendue de son talent grâce à un jeu solide au milieu de terrain, Javier alterne les côtés sans broncher; tantôt à droite, tantôt à gauche, sa présence est nécessaire pour le groupe. En fin de saison il échouera en finale avec sa sélection en finale des Jeux Olympiques d’Atlanta. Au fil des années, Zanetti s’installe de plus en plus comme un pilier de l’Inter et s’adapte de mieux en mieux à la Série A. Ainsi en 1998, quelques semaines après la terrible désillusion de la perte du scudetto, il permet à l’Inter avec le brésilien Ronaldo et Youri Djorkaeff au Parc des Princes de remporter la Coupe de l'UEFA sur un 3 buts à 0 bien tassé face à la Lazio de Roberto Mancini et Matias Almeyda grâce notamment à une grande prestation et un but splendide. Un mois après la finale de la C3, il va avoir l’honneur de disputer sa première Coupe du Monde avec l’Argentine qui atteindra les quarts de finale. En huitièmes, l’Argentine avait battu l’Angleterre grâce notamment à un but splendide de Zanetti. Devenu indispensable au sein d’un effectif où s’empilent les stars de tout horizon, il hérite du brassard de capitaine à la retraite de Giuseppe Bergomi en 1999.
 
Malheureusement pour lui, les années suivantes sont loin d’être positives pour l’Inter; les entraîneurs et les joueurs défilent sans amélioration des résultats, à l'aube d'une période de vaches maigres qui durera six ans. L'Inter doit attendre 2005 et une Coupe d'Italie pour soulever un trophée. C'est le début des années folles. Sous la houlette de Mancini, Zanetti se muscle les biceps à force de soulever des trophées: championnat, coupe, supercoupe. Mais l'Europe se refuse aux Nerazzurri jusqu'à 2010. L’apogée interviendra cette année-là avec ce triplé historique et surtout la première ligue des champions remportée par l’Inter depuis 1965. Javier Zanetti a dû attendre sa 15ème saison à l’Inter et sa 36ème année sur terre pour accrocher une C1 à sa ceinture. En soulevant la Coupe aux Grandes Oreilles le 22 mai 2010 à Madrid, Zanetti vit le plus grand moment de sa carrière, au terme d'une saison qu'il a passée entre le côté gauche de la défense et un poste de médian défensif, Maicon étant devenu indiscutable sur le côté droit. L’apothéose d’un Inter façonné pour la gagne par José Mourinho. Malgré deux dernières saisons un peu plus délicates marquées par une grave blessure mais aussi une rechute du club intériste, le soldat Javier a quoiqu’il arrive gagné son combat. Mais surtout le respect éternel de ses pairs.
 
Presque dix-huit ans après son arrivée, Javier est devenu l’emblème de l’Inter, le symbole ultime, la référence absolue. Ce sont les records qui s’empilent. En janvier 2011, c’est contre Bologne qu’il égale le grand Giuseppe Bergomi: 519 rencontres de Série A sous le maillot nerazzurro. Le secret d’une telle longévité? Un état d’esprit qui déteint sur le corps. Une hygiène de vie irréprochable. Comme d’autres, il aura eu une relation quelque peu malheureuse avec la sélection. Bien que recordman des sélections (145 capes), il rate les coupes du monde de 2006 et 2010. Surtout, il est de ces nombreuses finales malheureuses, lors des Copa América de 2004 et 2007 perdues face au rival brésilien, encore bourreau en 2005 en Coupe des Confédérations. Mais il en reste une icône, un soldat exemplaire. Même si Zanetti n’est pas forcément un joueur très médiatisé, il n’en demeure pas moins un exemple de fidélité et d’acharnement. Il fait partie de ces derniers dinosaures capables de passer l’essentiel de leur carrière dans un seul et unique club. Il est devenu une icône unanimement reconnue dans le monde du football, une des légendes de ce sport. Il fait également partie des plus grands joueurs de l'histoire au poste d'arrière droit. Plus qu’un champion pour l'Inter, il restera un modèle pour le monde du football.
 
PALMARÈS
 
Finaliste de la Copa America en 2004 et 2007 (Argentine)
Finaliste de la Coupe des Confédérations en 1995 et 2005 (Argentine)
Médaille d'argent aux Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996 (Argentine)
Médaille d'or aux Jeux Panaméricains de Mar del Plata en 1995 (Argentine)
Vainqueur de la Ligue des champions en 2010 (Inter Milan)
Vainqueur de la Coupe UEFA en 1998 (Inter Milan)
Finaliste de la Coupe UEFA en 1997 (Inter Milan)
Vainqueur de la Coupe du Monde des clubs en 2010 (Inter Milan)
Finaliste de la Supercoupe de l'UEFA en 2010 (Inter Milan)
Champion d’Italie en 2006, 2007, 2008, 2009 et 2010 (Inter Milan)
Vice-champion d’Italie en 1998, 2003 et 2011 (Inter Milan)
Vainqueur de la Coupe d'Italie en 2005, 2006, 2010 et 2011 (Inter Milan)
Finaliste de la Coupe d'Italie en 2000, 2007 et 2008 (Inter Milan)
Vainqueur de la Supercoupe d'Italie en 2005, 2006, 2008 et 2010 (Inter Milan)
Finaliste de la Supercoupe d'Italie en 2007 (Inter Milan)
 
DISTINCTIONS PERSONNELLES
 
À reçu le Prix Gaetano Scirea en 2010
Àreçu le "Prix de la loyauté" par le Gran Galà del Calcio AIC en 2012
À reçu le "Prix d'honneur" pour sa carrière sportive par Globe Soccer en 2016
À reçu le "Prix Gentleman" du championnat italien en 2002, 2003, 2007, 2009, 2010, 2012 et 2013
Élu joueur de l'année de l'Inter Milan en 1996
Élu parmi les "légendes" du foot par Golden Foot en 2011
Nommé au Fifa 100
Nommé dans l'équipe type de tous les temps de l'Argentine par l'association du football argentin en 2015
 
DIVERS
 
- Javier Zanetti a fondé en 2001 sa fondation, PUPI (son premier surnom), qui vient en aide aux enfants défavorisés d’Argentine. PUPI (Por Une Pibero Integrado) aide les enfants comme leurs familles. Le Chilien Ivan Zamorano a contribué. Javier, très impliqué, organise des matches de bienfaisance.

13/03/2018
0 Poster un commentaire

Internationaux Zimbabwéens

GARDIENS DE BUT

 

Bruce Grobbelaar

 

DÉFENSEURS LATÉRAUX

 

Hardlife Zvirekwi

 

DÉFENSEURS CENTRAUX

 

Norman Mapeza

Dumisani Mpofu

 

MILIEUX DÉFENSIFS/CENTRAUX

 

Esrom Nyandoro

Harlington Shereni

 

MILIEUX OFFENSIFS/AILIERS

 

Knowledge Musona

 

ATTAQUANTS

 

Benjani

Adam Ndlovu

Peter Ndlovu

Vitalis Takawira


13/03/2018
0 Poster un commentaire

Stefan Effenberg

Stefan Effenberg.jpg
photo: ©wdr.de

 

Stefan Effenberg

 

Né le 2 août 1968 à Hambourg (ALL)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4834810_201505191806193.png Allemand, Milieu de Terrain, 1m88

Surnoms: "Der Tiger", Cheffe

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4834810_201505191806193.png 35 sélections, 5 buts

(Matchs amicaux: 24 sélections, 4 buts)

(Coupe du Monde: 3 sélections)

(Qualif Euro: 3 sélections)

(Euro: 5 sélections; 1 but)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4834810_201505191806193.png espoirs: 5 sélections, 1 but

 

1ère sélection : le 5 juin 1991 contre le Pays de Galles (0-1)

Dernière sélection : le 5 septembre 1998 contre la Roumanie (1-1)

 

1987/90 Borussia Mönchengladbach (ALL) 78 matchs, 10 buts

(Championnat d'Allemagne: 73 matchs, 10 buts)

(Coupe d'Allemagne: 5 matchs)

1990/92 Bayern Munich (ALL) 80 matchs, 21 buts

(Championnat d'Allemagne: 65 matchs, 19 buts)

(Coupe d'Allemagne: 2 matchs)

(Supercoupe d'Allemagne: 1 match)

(Coupe d'Europe des clubs champions: 8 matchs, 1 but)

(Coupe de l'UEFA: 4 matchs, 1 but)

1992/94 Fiorentina (ITA) 64 matchs, 14 buts

(Championnat d'Italie: 30 matchs, 5 buts)

(Championnat d'Italie de D2: 26 matchs, 7 buts)

(Coupe d'Italie: 8 matchs, 2 buts)

1994/98 Borussia Mönchengladbach (ALL) 138 matchs, 31 buts

(Championnat d'Allemagne: 118 matchs, 23 buts)

(Coupe d'Allemagne: 10 matchs, 3 buts)

(Supercoupe d'Allemagne: 1 match)

(Coupe des Coupes: 6 matchs, 3 buts)

(Coupe de l'UEFA: 3 matchs, 2 buts)

1998/2002 Bayern Munich (ALL) 154 matchs, 28 buts

(Championnat d'Allemagne: 95 matchs, 16 buts)

(Coupe d'Allemagne: 15 matchs, 3 buts)

(Ligue des Champions: 40 matchs, 9 buts)

(Coupe de la ligue allemande: 4 matchs)

2002/03 VfL Wolfsburg (ALL) 21 matchs, 3 buts

(Championnat d'Allemagne: 19 matchs, 3 buts)

(Coupe d'Allemagne: 2 matchs)

2003/04 Al-Arabi SC (QAT) 15 matchs, 4 buts

(Championnat du Qatar: 15 matchs, 4 buts)

 

Si il fallait établir le classement des stars les plus controversées des années 90, Stefan Effenberg arriverait sûrement premier.

 

Il faut dire que l'ancien milieu de terrain du Bayern Munich, qui culmine à 1m88, a toujours su se faire respecter, sur le terrain comme en dehors. Ambitieux et parfois provocateur, Effenberg a toujours su utiliser son image pour faire le spectacle et susciter la polémique. Certains l'admiraient, d'autres le détestaient. En tout cas, l'ancien international allemand ne laissait personne indifférent. Milieu de terrain brutal et impulsif, le joueur fait ses débuts sous le maillot du Borussia Mönchengladbach en 1987. Rapidement, le natif de Hambourg se fait un nom en Bundesliga et signe au Bayern Munich.

 

C’est alors la consécration pour lui, qui obtient même sa première cape internationale en équipe d’Allemagne en 1991. Mais l’appel de l’étranger se fait rapidement trop pressant, et le milieu de terrain opte pour l'Italie et la Fiorentina. Effenberg joue au côté de son ami Brian Laudrup, en provenance lui aussi de Munich. Mais le rêve se transforme en cauchemar. L'entraîneur est licencié brusquement début janvier. En quinze matchs avec le nouveau coach, les Violets ne gagnent que deux fois. La Fio est seizième, change encore de staff, mais reste dans la zone de relégation. Elle descend finalement pour la première fois depuis plus de cinquante ans au terme d'une dernière journée étrange. Pourtant, toute l'équipe reste en Série B, renforcée par un jeune Francesco Toldo dans les cages et Claudio Ranieri sur le banc. Avec l'argentin Batistuta en pointe, la remontée est vite acquise. Les stats du Tigre sont honnêtes, son entente avec le buteur argentin fait des merveilles et tous deux partent de leur côté au Mondial 1994, malgré cette saison à l'échelon inférieur. Peu à peu, tout va pour le mieux.


https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_7613081_201803071312755.jpg

photo: ©DR

 

Mais Effenberg ne sait pas se tenir. Pendant la Coupe du Monde, frustré par une prestation sans relief contre la Corée du Sud, il adressera un doigt d’honneur au public qui le siffle, mettant fin à une carrière internationale à laquelle il n’aura jamais voulu renouer de lien fort. De retour outre-Rhin au Borussia en 1994, il y passe pas moins de quatre saisons et se relance totalement. Effenberg se voit offrir une nouvelle occasion de briller au Bayern Munich et rejoint les Bavarois en 1998. L’enfant terrible devient l’âme munichoise durant quatre années glorieuses, réduisant la concurrence en poussière. Très vite, sa grande gueule et son abattage font de lui un des leaders du club bavarois, dont il devient le capitaine en 1999. Le Bayern perd la finale de la C1 dans les dernières secondes face à Manchester United? Pas grave: deux ans après, le club allemand s'impose aux tirs au but face au Valence de Gaizka Mendieta. Stefan soulève un trophée suprême après lequel les Bavarois courait depuis 1976. Il remporte également trois Bundesligas d'affilées, de 1999 à 2001.

 

Mais il ne fait pas oublier son péché mignon, quand le tigre est en lui. Le joueur est un poil brutal, même s'il le fait avec correction. Il détient ainsi le record de cartons jaunes en Bundesliga, plus de 110, pour seulement quatre cartons rouges directs. Effenberg justifiait pleinement son surnom, un mec qui en voulait à la terre entière, aux journalistes comme à ce fameux SDF qu'il a frappé parce qu'il dormait sous son porche, ou encore ce gars capable de piquer la copine de son coéquipier Thomas Strunz. Mais réduire le milieu de terrain à un fou furieux qui perdait souvent son sang-froid serait injuste. Malgré quelques revers, il n'a jamais laissé la déception prendre le pas sur ses qualités de leader. Soucieux de ne jamais esquiver ses responsabilités, Effenberg a toujours affiché clairement ses opinions. Pourtant, l'homme aux 35 sélections en équipe d'Allemagne n'a jamais réussi à s'imposer avec la même force en équipe nationale. Comme quoi. Après une dernière pige outre-Rhin avec Wolfsburg, il file à Al Arabi Doha avant de raccrocher les crampons en 2004.

 

PALMARÈS

 

Finaliste de l'Euro 1992 (Allemagne)

Vainqueur de l'US Cup en 1993 (Allemagne)

Vainqueur de la Ligue des champions en 2001 (Bayern Munich)

Finaliste de la Ligue des champions en 1999 (Bayern Munich)

Champion d’Allemagne en 1999, 2000 et 2001 (Bayern Munich)
Vainqueur de la Coupe d’Allemagne en 1995 (Borussia Mönchengladbach) et 2000 (Bayern Munich)
Vainqueur de la Coupe de la ligue allemande en 1998, 1999 et 2000 (Bayern Munich)
Vainqueur de la Supercoupe d'Allemagne en 1990 (Bayern Munich)
Champion d’Italie de D2 en 1994 (Fiorentina)
 
DISTINCTIONS PERSONNELLES
 
Nommé dans l'équipe type du tournoi de l'Euro en 1992
Nommé dans l'équipe type de l'année de l'association ESM en 1999
Élu meilleur milieu de terrain de l'histoire du Bayern Munich par les supporters en 2005
 
SOURCES/RESSOURCES
 
- So Foot/Foot Mercato

06/03/2018
1 Poster un commentaire

Sanfrecce Hiroshima

Sanfrecce Hiroshima.jpg
Sanfrecce Hiroshima

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4925141_201506194658413.png Sanfrecce Hiroshima F.C (サンフレッチェ広島), fondé en 1938

Anciens noms: Toyo Kogyo SC (1938-1980), Mazda SC Toyo Kogyo SC (1981-1983),

Mazda Sport Club SC (1984-1986), Mazda SC (1986-1992)

Surnoms: Sanfre
Couleurs: violet

Stade: Grande Arche d'Hiroshima (50 000 places)

 

La création du club

 

Le club est fondé en 1938 sous le nom de Toyo Kogyo Syuku Club du nom du puissant motoriste japonais de la ville d'Hiroshima, la Toyo Kogyo Co.,Ltd. Entre 1981 et 1992, celui-ci avait même été renommé "Mazda Sports Club", dans la plus pure tradition japonaise de l’époque. Ce n’est qu’à partir de la création de la J-League au début des années 90 que le club s’est appelé Sanfrecce Hiroshima. "Sanfrecce" est l’union de deux mots japonais: "san ", qui veut dire  "trois ", et "frecce", qui veut dire "flèches". C’est en fait une référence à un héros légendaire de la région d’Hiroshima, nommé Mori Motonari.


03/03/2018
0 Poster un commentaire

César Sampaio

Cesar Sampaio.jpg
photo: ©DR

 

César Sampaio

 

Carlos César Sampaio Campos

Né le 31 mars 1968 à São Paulo (BRE)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4827223_201505174016510.png Brésilien, Milieu défensif, 1m77

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4827223_201505174016510.png 47 sélections, 6 buts

(Matchs amicaux: 23 sélections, 2 buts)

(Qualif Coupe du Monde: 5 sélections)

(Coupe du Monde: 6 sélections, 3 buts)

(Copa America: 9 sélections

(Coupe des Confédérations: 4 sélections, 1 but)

 

1ère sélection : le 8 novembre 1990 contre le Chili (0-0)

Dernière sélection : le 15 novembre 2000 contre la Colombie (1-0)

 

1986/91 Santos FC (BRE) 82 matchs, 2 buts

1991/94 Palmeiras (BRE) 60 matchs, 5 buts

1995/98 Yokohama Flügels (JAP) 150 matchs, 17 buts

(Championnat du Japon: 116 matchs, 13 buts)

(Coupe du Japon: 11 matchs, 1 but)

(Coupe de la ligue japonaise: 23 matchs, 3 buts)

1999/2000 Palmeiras (BRE) 22 matchs, 2 buts

2000/01 Deportivo La Corogne (ESP) 17 matchs

(Championnat d'Espagne: 10 matchs)

(Coupe d'Espagne: 7 matchs)

2002 Kashiwa Reysol (JAP) 32 matchs, 3 buts

(Championnat du Japon: 26 matchs, 3 buts)

(Coupe de la ligue japonaise: 6 matchs)

2003/04 Sanfrecce Hiroshima (JAP) 61 matchs, 5 buts

(Championnat du Japon: 55 matchs, 5 buts)

(Coupe du Japon: 4 matchs)

(Coupe de la ligue japonaise: 2 matchs)

2004 São Paulo FC (BRE) 25 matchs, 1 but

2006 Persma Manado (IDN) 1 match, 1 but

 

Le premier buteur du Brésil au Mondial 98, c'est lui. César Sampaio, un milieu de terrain trapu relativement méconnu en France qui a brillé à la fin des années 90.

 

Né le 31 mars 1968 à São Paulo, Carlos César Sampaio Campos de son nom complet a initié sa carrière au Santos, mais sera révélé au grand public à Palmeiras sous la houlette de Wanderley Luxemburgo. Avec cette équipe, il est double champion du Brésil et vainqueur de la prestigieuse Copa Libertadores en 1999. Pour l’ouverture de la Coupe du Monde française, le Brésil affronte l’Écosse au Stade de France. L’occasion pour Ronaldo, le plus grand joueur de la planète à ce moment-là, d’exposer son talent aux yeux de la terre entière. C’est pourtant César Sampaio qui ouvre le score pour le Brésil, d’un geste peu académique sur un corner de Bebeto repris au premier poteau impliquant son épaule et sa chance. Six mois encore avant le Mondial, Flávio Conceição, qui évolue dans le championnat espagnol, paraît indétrônable. Mais une blessure et un "manquement à la discipline" l'éloignent des tablettes du sélectionneur brésilien. Lequel ne pensait sans doute pas faire une aussi bonne affaire avec Cesar Sampaio.


https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_7607502_201803021922795.jpg

Photo: ©DR

 

En 1998, le milieu brésilien joue au Japon depuis 1995. À Yokohama Flügels plus exactement. L'ancien joueur du championnat brésilien a débarqué en Asie en même temps que son pote Zinho, milieu offensif. Au pays du soleil levant, César fait ses matchs, mais quitte son club en 1998. Logique, Flügels met la clé sous la porte, et Sampaio retourne donc au pays après avoir été titularisé six fois en sept matchs du Mondial 98. Comme quoi, on peut jouer au Japon et être titulaire indiscutable dans une équipe finaliste de la Coupe du Monde aux côtés de Cafu, Roberto CarlosRivaldo et Ronaldo. Peu connu en Europe malgré ces références, le demi-défensif ratisseur de ballons doit son anonymat à une seule saison passée sur le Vieux Continent en Espagne, à la Corogne où il ne dispute que 17 rencontres. Après un nouveau passage de deux saisons au Japon, il rentre définitivement au Brésil en 2004 pour mettre un terme à sa carrière de footballeur dans sa ville natale avec São Paulo. Au total, il compte 47 sélections en équipe nationale brésilienne avec comme principale conquête la Coupe des Confédérations et la Copa America en 1997. Il honore sa dernière cape internationale avec la Seleçao le 15 novembre 2000 contre la Colombie (1 but à 0) lors des éliminatoires de la Coupe du Monde 2002.

 

PALMARÈS

 

Finaliste de la Coupe du Monde en 1998 (Brésil)

Vainqueur de la Copa America en 1997 (Brésil)

Finaliste de la Copa America en 1995 (Brésil)

Vainqueur de la Coupe des Confédérations en 1997 (Brésil)

Vainqueur de la Copa Libertadores en 1999 (Palmeiras)

Vainqueur de la Copa Mercosur en 1998 (Palmeiras)

Vainqueur de la Coupe des coupes asiatique en 1995 (Yokohama Flügels)

Vainqueur de la Supercoupe d'Asie en 1995 (Yokohama Flügels)

Champion du Brésil en 1993 et 1994 (Palmeiras)

Vainqueur de la Coupe du Japon en 1998 (Yokohama Flügels)

Vainqueur de la Supercoupe d'Espagne en 2000 (Deportivo La Corogne)

Vainqueur du Championnat de São Paulo en 1993, 1994 (Palmeiras) et 2001 (Corinthians)

Vainqueur du Tournoi Rio-São Paulo en 1993 et 2000 (Palmeiras)

 

DISTINCTIONS PERSONNELLES

 

Bola de Ouro en 1990 et 1993

Bola de Prata en 1990 et 1993


02/03/2018
0 Poster un commentaire