Football-the-story

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France


Pascal Baills

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Photo: ©MHSC Foot

 

Pascal Baills

 

Né le 30 décembre 1964 à Perpignan (FRA)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Français, Défenseur droit, 1m74

Surnom: "Pascalou"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png 1 sélection

 

1ère et dernière sélection : 30 mars 1991 contre l'Albanie (5-0)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png B: 3 sélections

 

1983/91 Montpellier HSC (FRA) 269 matchs, 8 buts

(Championnat de France: 139 matchs, 5 buts)

(Championnat de France de D2: 100 matchs, 3 buts)

(Coupe de France: 23 matchs)

(Coupe des Coupes: 5 matchs)

(Coupe de l'UEFA: 2 matchs)

1991/92 Olympique de Marseille (FRA) 20 matchs

(Championnat de France: 17 matchs)

(Coupe de France: 2 matchs)

(Coupe d'Europe des clubs champions: 1 match)

1992/95 RC Strasbourg (FRA) 108 matchs, 3 buts

(Championnat de France: 101 matchs, 3 buts)

(Coupe de France: 7 matchs)

1995/2000 Montpellier HSC (FRA) 151 matchs, 1 but

(Championnat de France: 127 matchs, 1 but)

(Coupe de France: 12 matchs)

(Coupe de la Ligue: 10 matchs)

(Coupe de l'UEFA: 2 matchs)

 

Pascal Baills a tout connu avec Montpellier. Des montées et des descentes, la Coupe de France en 1990, l'épopée européenne de 1991...

 

Formé au MHSC, le Perpignanais d'origine a joué dans l'Hérault de 1983 à 1991 puis de 1995 à 2000. Il sera durant un moment le plus capé des joueurs pailladins avec 429 matchs disputées, avant que Souleymane Camara ne l'efface des tablettes. Joueur emblématique des Bleu et Orange, ce très bon arrière droit possède également une sélection en équipe de France, appelé par Michel Platini en 1991 face à l'Albanie pour remplacer Bernard Casoni. Il laisse l'excellente image d'un joueur combatif à l'état d'esprit exemplaire. Passé par l'OM et le RC Strasbourg, il revient finir sa carrière à Montpellier et intègre ensuite tout naturellement le staff héraultais une fois les crampons raccrochés. Adjoint de Bernardet, DomergueGirard ou encore Courbis, il a également participé au retour au premier plan de son club de cœur au quotidien.

 

PALMARÈS

 

Vainqueur du Tournoi de Toulon en 1985 (France)

Vainqueur de la Coupe Intertoto en 1999 (Montpellier HSC)

Finaliste de la Coupe Intertoto en 1997 (Montpellier HSC)

Champion de France en 1992 (Olympique de Marseille)

Vainqueur de la Coupe de France en 1990 (Montpellier HSC)

Finaliste de la Coupe de France en 1995 (RC Strasbourg)

Champion de France de D2 en 1987 (Montpellier HSC)

Finaliste de la Coupe Gambardella en 1984 (Montpellier HSC)


31/12/2017
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Pascal Olmeta

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Photo: ©DR

 

Pascal Olmeta

 

Né le 7 avril 1961 à Bastia (FRA)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Français, Gardien de but, 1m81

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Aucune sélection (Seulement convoqué)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png espoirs: 7 sélections

 

1982/83 SC Bastia (FRA) 48 matchs

(Championnat de France: 45 matchs)

(Coupe de France: 3 matchs)

1984/86 Sporting Club Toulon (FRA) 78 matchs

(Championnat de France: 76 matchs)

(Coupe de France: 2 matchs)

1986/90 Matra Racing (FRA) 121 matchs

(Championnat de France: 110 matchs)

(Coupe de France: 11 matchs)

1990/93 Olympique de Marseille (FRA) 112 matchs

(Championnat de France: 84 matchs)

(Coupe de France: 14 matchs)

(Coupe d'Europe des clubs champions: 14 matchs)

1993/96 Olympique Lyonnais (FRA) 

(Championnat de France: 131 matchs)

(Coupe de France: 6 matchs)

(Coupe de la ligue: 3 matchs)

(Coupe de l'UEFA: 6 matchs)

1997 Espanyol Barcelone (ESP)

1997/99 GFCO Ajaccio (FRA) 27 matchs

(Championnat de France de National: 25 matchs)

(Coupe de France: 2 matchs)

 

Formé à L'INF Vichy, ce gardien aussi fantasque que fou va marquer le foot français de son empreinte, sans avoir jamais été sélectionné en équipe de France. Showman par nature, Pascal Olmeta sera le gardien qui voulait rentrer à cheval au vélodrome et qui généralisera les sorties à 40m de ses buts, quitte à se ridiculiser en prenant des buts stupides.

 

Corse au sang chaud, il débute sa carrière à Bastia en 1982, qui occupe alors le haut du tableau. Après deux saisons il part pour Toulon, en compagnie de Rolland Courbis, en fin de carrière, Luigi Alfano le fidèle, Albert Emon, en bout de course également, ou encore le prometteur Bernard Casoni. Au contact de ses joueurs de caractères, Pascal se forgera un caractère de battant qu'il insufflera à toutes les équipes où il est passé. Deux saisons plus tard, il signe au Matra-Racing, qui tente de se forger un palmarès à coups de millions de francs: Maxime BossisEnzo Francescoli ou encore Pierre Littbarski et David Ginola qu'il avait côtoyé à Toulon rejoignent les rangs. Fiasco terrible pour un groupe de star qui ne formait pas une équipe. Son parcours parisien s'achèvera sur une finale de Coupe de France perdue face à Montpellier en 1990 et une relégation. Alors que sa carrière semble s'enliser et que son parcours en sélection espoir n'est pas suivi d'une montée chez les A, il rejoint l'OM à l'été 90.

 

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Photo: ©Bob Thomas Sports Photography

 

Insulté par les supporters marseillais avant son arrivée, le portier corse a pourtant très vite trouvé grâce à leurs yeux avec son franc parler et son grain de folie. Alors que son rival, Gaëtan Huard revient de blessure, il bénéficie contractuellement d'une place de titulaire et prend ainsi part au formidable parcours olympien de la saison 1990/91, sans doute une des plus belles pages de Marseille. Leader incontesté du championnat, l'OM vise le triplé. En Coupe de France tout d'abord, il faudra une mine de 30m du monégasque Gérald Passi à la 90ème minute pour priver les phocéens d'un second sacre consécutif. Mais surtout c'est en Coupe d'Europe des Clubs Champions que l'OM va faire rêver les foules et écrire son histoire. Après des débuts solides face aux Lech Poznan, c'est le grand Milan AC qui se présente en quart de finale. Le match aller à San Siro se clôt sur un nul 1-1 , qui sans un poteau aurait pu se transformer en victoire. Le match retour restera lui dans l'histoire, avec la délivrance à la 80ème minute sur une frappe croisée de Chris Waddle et l'extinction des projecteur juste après qui a provoqué la fin du match et du même coup la qualification. Pascal Olmeta réalise alors plusieurs arrêts décisifs qui permettent aux phocéens de marcher vers la gloire. Alors que toute la France les voyait écraser les modestes yougoslaves de l'Étoile rouge de Belgrade, vainqueur en demi du Bayern Munich tout de même, l'OM perd au penalty, Olmeta restant les pieds dans le gazon sur le dernier tir yougoslave... Que de regrets. La saison suivante, il poursuit sur sa lancée avec un nouveau titre de champion. Mais à l'automne 1992, il se blesse alors qu'il tenait la forme de sa vie. L'arrivée du jeune Fabien Barthez lors de l'été, lui fait perdre sa place et c'est depuis le banc de touche qu'il gagnera la C1 de 1993, à Munich contre le Milan AC (1 but à 0).

 

Barré à l'OM, il part pour l'OL, alors club de seconde zone pour y insuffler un état d'esprit de vainqueur. Il y passera 3 belles saisons, devenant même capitaine de l'équipe au maillot Justin Bridou, qui se termineront sur l'affaire Jean-Luc Sassus: le défenseur, accusé par Olmeta de tourner autour de sa femme, lui assène un coup de poing en plein vestiaire qui lui fracture le nez. Le président Jean-Michel Aulas ne badinera pas avec ça. Résultat, dehors les 2 : Olmeta part pour l'Espanyol Barcelone tandis que Sassus sera échangé contre Coupet alors à Saint-Etienne. En Espagne il ne connaîtra ni la gloire ni la fortune mais le banc de touche et rentrera aussitôt en Corse, au Gazélec Ajaccio. Là-bas, il connaît une montée en D2, mais annulée en raison de la présence déjà de l'AC Ajaccio en deuxième division... Du coup il raccroche les gants et range les crampons dans la foulée. Malgré plusieurs convocations, Pascal Olmeta n'a jamais eu la chance de revêtir le maillot bleu. Après un passage par le beach soccer, il refait parler de lui à l'occasion de l'émission de téléréalité "la Ferme des célébrités". Son style rugueux et baroudeur, ses gros muscles et son habitude des groupes lui permettent de remporter haut la main le jeu diffusé sur TF1.

 

PALMARÈS

 

Vainqueur de la Coupe d’Europe des clubs champions en 1993 (Olympique de Marseille)

Finaliste de la Coupe d’Europe des clubs champions en 1991 (Olympique de Marseille)

Champion de France en 1991 et 1992 (Olympique de Marseille)

Vice-champion de France en 1995 (Olympique Lyonnais)

Finaliste de la Coupe de France en 1990 (Matra Racing) et 1991 (Olympique de Marseille)

Finaliste de la Coupe de la ligue en 1996 (Olympique Lyonnais)



DISTINCTIONS PERSONNELLES

 

Révélation française de l’année en 1983


30/12/2017
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Nestor Combin

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Photo: ©Red Star

 

Néstor Combin

 

Né le 9 décembre 1940 à Las Rosas (ARG)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Français / https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4825565_201505164916331.png Argentin, Attaquant, 1m76

Surnom: "La Foudre","Il Selvaggio"

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png 8 sélections, 4 buts

(Qualif Coupe du Monde: 4 sélections, 3 buts)

(Coupe du Monde: 1 sélection)

(Qualif Euro: 3 sélections, 1 but)

 

1ère sélection : le 25 avril 1964 contre la Hongrie (1-3)

Dernière sélection : le 6 avril 1968 contre la Yougoslavie (1-1)

 

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png espoirs: 1 sélection, 2 buts

 

1959/64 Olympique Lyonnais (FRA) 164 matchs, 94 buts

(Championnat de France: 131 matchs, 68 buts)

(Coupe de France: 16 matchs, 12 buts)

(Coupe Charles Drago: 5 matchs, 3 buts)

(Coupe des Coupes: 8 matchs, 10 buts)

(Coupe de l'UEFA: 4 matchs, 1 but)

1964/65 Juventus Turin (ITA) 38 matchs, 10 buts

(Championnat d'Italie: 24 matchs, 7 buts)

(Coupe d'Italie: 5 matchs)

(Coupe de l'UEFA: 9 matchs, 3 buts)

1965/66 Varese (ITA) 19 matchs, 2 buts

(Championnat d'Italie: 16 matchs, 2 buts)

(Coupe d'Italie: 3 matchs)

1966/69 Torino (ITA) 104 matchs, 34 buts

(Championnat d'Italie: 82 matchs, 27 buts)

(Coupe d'Italie: 19 matchs, 4 buts)

(Coupe des Coupes: 3 matchs)

1969/71 Milan AC (ITA) 67 matchs, 20 buts

(Championnat d'Italie: 50 matchs, 11 buts)

(Coupe d'Italie: 11 matchs, 5 buts)

(Coupe d'Europe des clubs champions: 4 matchs, 3 buts)

(Coupe Intercontinentale: 2 matchs, 1 but)

1971/73 FC Metz (FRA) 61 matchs, 34 buts

(Championnat de France: 59 matchs, 34 buts)

(Coupe de France: 2 matchs)

1973/75 Red Star (FRA) 69 matchs, 41 buts

(Championnat de France: 31 matchs, 15 buts)

(Championnat de France de D2: 34 matchs, 24 buts)

(Finale D2: 1 match)

(Coupe de France: 3 matchs, 2 buts)

1975/76 Hyères FC (FRA)

 

Né en Argentine mais international français, découvert par l’Olympique Lyonnais avant d’aller à la Juventus Turin, Nestor Combin, alias "La Foudre", n’en est plus à une contradiction près.
 
Il voit le jour le 29 décembre 1940 dans la petite ville de 12 000 habitants de Las Rosas, situé dans la province de Santa Fe, au nord de l'Argentine, loin de la Seconde Guerre Mondiale. Il peut en toute quiétude s’initier aux joies du football et fait ses premiers pas au Colon Rosario. Il décide de quitter les siens très jeune à l'âge de 18 ans pour tenter l’aventure en France. À l'époque, c'est un choix de carrière encore peu courant, surtout à un si jeune âge. Et c’est l’Olympique Lyonnais qui hérite du joyau. Sa première saison est assez difficile du fait de l’adaptation à un autre football et le choc climatique. Propulsé titulaire la saison suivante, Nestor Combin évolue en pointe en compagnie d’Eugène N’Jo Léa et d'Angel Rambert, un autre franco argentin comme lui. À titre personnel, sa première saison comme titulaire est une réussite, puisqu’il inscrit 15 buts. Seulement Lyon frôle la descente, se sauvant à la dernière journée. La saison suivante, Fleury Di Nallo remplace l'attaquant camerounais devant et malgré ses 20 pions, il ne change pas grand chose à la situation de l’OL qui se sauve encore une fois de justesse. Le problème reste toujours la défense, malgré l’arrivée un peu tardive de Thadée Polak. Tout ira mieux à partir de 1962.
 
Marcel Novak renforce la défense, mais surtout c’est l’émergence du jeune gardien Marcel Aubour qui va contribuer à stabiliser toute l’équipe. Lyon ne se mêle plus à la lutte pour le maintien mais plus pour le titre. Leader éphémère fin décembre, Lyon termine 5ème et échoue en finale de la coupe de France, face au champion monégasque. Nestor la foudre lui, est toujours régulier et continue de planter entre 15 et 20 réalisations par saison. Le déclic viendra en 1964. L’OL termine quatrième du championnat et fait un remarquable parcours en Coupe des Coupes, se hissant jusqu’en demi-finale, après avoir éliminé Hambourg. Mais surtout, Lyon remporte la Coupe de France, glanant ainsi le premier trophée de son histoire. Le Sud-Américain s'offre d’ailleurs un doublé en finale contre Bordeaux. Une performance qui lui vaut la reconnaissance éternelle des Gones et qui lui offre la possibilité de se faire connaître sur la scène internationale. C’est à cette époque que le grand Nestor fera ses premiers pas en Bleu.
 
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Photo: ©Alamy
 
Son histoire avec l’équipe de France sera assez étrange pour un joueur de sa classe. Il est appelé une première fois pour un match de qualif pour la Coupe du Monde 1966 et une défaite 3 buts à 1 contre la Hongrie. Le buteur termine la phase de qualification et fait partie des deux seuls joueurs français (lui et l'Alsacien du FC Barcelone Lucien Muller) évoluant hors du territoire retenu pour disputer la Coupe du Monde en Angleterre. Il ne participera d'ailleurs qu’au premier match des Bleus contre le Mexique (1-1). Par la suite, il est de nouveau rappelé pour un match de qualif pour l’Euro et un nul 1-1 contre les Yougoslaves. Son compteur restera bloqué à 8 sélections, pour 4 buts inscrits. C'est donc cette finale de Coupe de France qui va sceller son destin.
 
En 1964, la Juventus Turin du président Vittore Cattela s’offre l’imposant attaquant lyonnais. Surnommé "La Foudre" en France pour la puissance de ses frappes, il devient "Il Selvaggio", le sauvage, de l'autre côté des Alpes. Mais le caractère bouillonnant de l’entraîneur paraguayen des Bianconeri, Heriberto Herrera, ne colle pas avec la personnalité de Combin et cette première saison à Turin sera la dernière. Après avoir rebondit au Torino après une année en prêt à Varese, Nestor Combin arrive au Milan AC en 1967, dans les bagages de Nereo Rocco, le nouveau coach des Rossoneri. Avec Milan, l’attaquant franco-argentin remporte la coupe Intercontinentale en 1969 dans des conditions tragiques. De retour dans son pays natal après dix ans d’absence, le franco-argentin subit les foudres du public et surtout de la défense de ses compatriotes de l’Estudiantes. Attentats, coups volontaires, Nestor Combin sort du match en sang, nez cassé et mâchoire fracturée, avec la police aux trousses. Arrêté à la fin du match pour désertion au service militaire argentin, Combin repartira finalement avec son équipe la nuit suivante. Sentant le vent tourné au Milan AC lors de l’été 1971, il décide de rentrer en France.
 
Il franchit à nouveau les Alpes et trouve une place au FC Metz. Véritable star, l'équipe messine dispose d’un attaquant de classe européenne dans son effectif où sont déjà présents les Danois Tom Søndergaard et Hening Jensen. Auteur d’un triplé dès son premier match avec le FC Metz, lors de la deuxième journée contre Lille (4 buts à 0), Nestor Combin est le leader d’attaque de l’équipe grenat. Auteur de 16 buts en 27 matchs la première année et de 18 buts en 34 matchs la seconde, il étonne par sa gentillesse et sa disponibilité envers le club. Après deux ans chez les Grenats, il pose ses bagages au Red Star où il va claquer 15 buts en première division avant de raccrocher les crampons définitivement à Hyères en 1976.
 
PALMARÈS
 
Vainqueur de la Coupe Intercontinentale en 1969 (Milan AC)
Finaliste de la Coupe des villes de foire en 1965 (Juventus Turin)
Vice-champion d’Italie en 1971 (Milan AC)
Vainqueur de la Coupe de France en 1964 (Olympique Lyonnais)
Vainqueur de la Coupe d’Italie en 1965 (finale non-jouée) (Juventus Turin) et 1968 (Torino)
Finaliste de la Coupe de France en 1963 (Olympique Lyonnais)
Finaliste de la Coupe d’Italie en 1971 (Milan AC)
Vice-champion de France de D2 en 1974 (Red Star)
 
DISTINCTIONS PERSONNELLES
 

23/11/2017
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Michel Frusta

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Photo: ©DR

 

Michel Frusta

 

Né le 27 mai 1914 à Nice (FRA)

Décédé le 2 mars 1996

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Français, Défenseur

 

1936/37 AS Cannes (FRA)

1938/43 OGC Nice (FRA)

1943/44 EF Nice-Côte d'Azur (FRA)

1944/47  OGC Nice (FRA)

 

Modèle de régularité et de constance, Michel Frusta a été l'un des premiers grands arrières de l'OGC Nice.

 

Il débute en pro en 1937, alors que les Aiglons évoluent à l'étage inférieur. Au fil des saisons et du contexte géopolitique, il dispute les championnats de guerre durant la Seconde Guerre Mondiale, entre 1939 et 1945. Au total, le rugueux défenseur français... borgne apparaît sous le maillot du Gym 207 fois.

07/10/2017
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Francis Isnard

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Photo: ©L'Équipe

 

Francis Isnard

 

Né le 11 avril 1945 à Manosque (FRA)

Décédé le 25 juin 2010 à Monaco (FRA)

https://static.blog4ever.com/2014/12/790899/artfichier_790899_4844082_201505223457315.png Français, Défenseur central, 1m74

 

1963/75 OGC Nice (FRA) 437 matchs, 5 buts

(Championnat de France: 334 matchs, 4 buts)

(Championnat de France de D2: 49 matchs)

(Coupe de France: 41 matchs, 1 but)

(Coupe Charles Drago: 1 match)

(Coupe de l'UEFA: 12 matchs)

1975/77 AS Cannes (FRA) 64 matchs, 5 buts

(Championnat de France de D2: 56 matchs, 3 buts)

(Coupe de France: 8 matchs, 2 buts

 

Massif et dur au combat, mais sans aucune méchanceté, Francis Isnard a été un défenseur emblématique du club des Aiglons dans les années 70. 
 
Équipier modèle, il donnait tout. Un joueur de club, à la vie à la mort. Sa générosité était belle à voir. International espoirs, Isnard a également évolué en équipe de France militaire. Cet ancien stoppeur a porté le maillot rouge et noir de 1963 à 1975, lors d’une période entrecoupée par deux relégations en D2, et y a disputé 383 matches, ce qui fait notamment de lui le recordman des matchs en 1ère Division de l'OGC Nice. Il a inscrit 4 buts et a récolté un seul carton jaune (lors de Nice-Bordeaux en 1974). Avec Maurice Serrus, ils étaient surnommés les "jumeaux de la défense", malgré leurs physiques très différents. Cette paire constitué "l'assurance tous risques" de la défense niçoise pendant des années. Arrivés, presque en même temps en équipe première, ils n'en partiront que douze et treize ans plus tard. Après avoir rejoint l'AS Cannes en 1975 et mis un terme à sa carrière professionnelle deux ans après, il avait un temps rechaussé les crampons dans le club amateur de Menton. Par la suite, c’est en Corse, à Calvi, qu’il avait choisi de s’installer. Francis Isnard est décédé le 25 juin 2010 à l'âge de 65 ans des suites d'une longue maladie.

 

PALMARÈS

 

Vice-champion de France en 1968 et 1973 (OGC Nice)

Champion de France de D2 en 1965 et 1970 (OGC Nice)


06/10/2017
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