Yves Triantafilos
Photo: ©L'Équipe
Yves Triantafilos
Né le 27 octobre 1948 à Montbrison (FRA)
Français, Attaquant, 1m78
Surnom: "Tintin", Le Grec
1 sélection
(Match amical: 1 sélection)
1ère et dernière sélection : le 26 mars 1975 contre la Hongrie (2-0)

Champion de France en 1967, 1975, 1976 (Saint-Etienne) et 1977 (FC Nantes)
Vice-champion de France en 1978 (FC Nantes)
Champion de Grèce en 1973 et 1974 (Olympiakos)
Vice-champion de Grèce en 1972 (Olympiakos)
Vainqueur de la Coupe de France en 1975 (finale non-jouée) (Saint-Etienne)
Vainqueur de la Coupe de Grèce en 1973 (Olympiakos)
Finaliste de la Coupe de Grèce en 1974 (Olympiakos)
Vainqueur du Challenge des champions en 1967, 1968 et 1969 (Saint-Etienne)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Meilleur buteur du championnat de France de D2 en 1971 (Nord) (21 buts) (US Boulogne)
Omar Sahnoun
Photo: ©DR
Omar Sahnoun
Né le 18 août 1955 à Guerrouma (ALG)
Décédé le 21 avril 1980 à Bordeaux (FRA)
Français, Milieu de terrain, 1m75
6 sélections
(Matchs amicaux: 6 sélections)
1ère sélection : le 23 février 1977 contre la RFA (1-0)
Dernière sélection : le 11 mai 1978 contre l'Iran (2-1)
non-officiel: 1 sélection

Médaille d'argent aux Jeux Méditerranéens d'Alger en 1975 (France)
Champion de France en 1973 et 1977 (FC Nantes)
Vice-champion de France en 1978 et 1979 (FC Nantes)
Vainqueur de la Coupe de France en 1979 (FC Nantes)
Vainqueur de la Coupe Gambardella en 1974 (FC Nantes)
Champion de France de D3 en 1974 (FC Nantes)
Julio Olarticoechea
Photo: ©Alessandro Sabattini/Getty Images
Julio Olarticoechea
Julio Jorge Olarticoechea
Né le 18 octobre 1958 à Saladillo (ARG)
Argentin, Défenseur/Latéral/Milieu défensif, 1m70
Surnom: "El Vasco"
28 sélections
(Matchs amicaux: 11 sélections)
(Coupe du Monde: 12 sélections)
(Copa America: 5 sélections)
1ère sélection : le 12 mai 1983 contre le Chili (2-2)
Dernière sélection : le 3 juillet 1990 contre l'Italie (1-1)
Défenseur, latéral ou milieu défensif argentin plutôt rugueux, Julio Olarticoachea a participé à trois coupes du Monde consécutives, avec un titre de champion en 1986 et une finale perdue en 1990 avec Diego Maradona. Assez petit et très râblé, il faisait partie des joueurs dont on parlait peu mais qui étaient toujours là aux bons moments. Pourtant, il ne laissera pas un souvenir impérissable aux supporters du FC Nantes.
Formé au Racing Club, Olarticoechea, un nom à forte résonnance basque (littéralement la "maison du forgeron") explose à River Plate grâce à sa puissance et sa bonne technique en mouvement. Transféré chez l'ennemi juré du Boca Juniors en 1985, le traître chanceux peut surtout se targuer d’être le seul joueur de l’histoire dont le nom a été ovationné par les supporters de River et Boca dans un même Superclásico. Appelé en sélection dès 1982, il est d'abord remplaçant avant de s'installer définitivement au poste de milieu latéral non loin des travailleurs Sergio Batista et Ricardo Giusti dans le 3-5-2 concocté par Carlos Bilardo lors des Coupes du monde 1986 et 1990. Si le chapitre mexicain s’est conclu sur des larmes de bonheur, l’édition italienne s’est bouclée par un statut de finaliste au cœur lourd. D'ailleurs, après celle gagnée durant laquelle il a participé à tous les matchs de l’Albiceleste, le champion du monde traverse l'Atlantique et débarque au FC Nantes, où il retrouve son compatriote Jorge Burruchaga. Coco Suaudeau compte sur lui pour devenir l’un des hommes de base de ses Canaris. Il joue 27 matches comme récupérateur, mais l’équipe ne convainc pas et termine sur une anonyme 12ème place. "El Vasco" ne s’est jamais adapté et repart sur la pointe des pieds, revendu à Argentinos Juniors au prix où il l’avait été acheté. Le premier flop argentin des Canaris puisqu'il n'a jamais répondu à la hauteur des attentes suscitées.
PALMARÈS
Vainqueur de la Coupe du Monde en 1986 (Argentine)
Finaliste de la Coupe du Monde en 1990 (Argentine)
4ème de la Copa America en 1987 (Argentine)
Champion d’Argentine en 1981 (Nac.) (River Plate)
Angel Marcos
Photo: ©DR
Angel Marcos
Ángel Alberto Marcos
Né le 7 avril 1943 à Buenos Aires (ARG)
Argentin, Ailier droit/Attaquant, 1m74
8 sélections, 1 but
(Matchs amicaux: 6 sélections, 1 but)
(Qualif Coupe du Monde: 2 sélections)
1ère sélection : le 27 juillet 1939 contre la Bolivie (1-3)
Dernière sélection : le 11 juillet 1971 contre le Paraguay (1-0)
Attaquant charismatique et élégant, Angel Marcos a fait les beaux jours du FC Nantes au début des années 70.
Après s’être fait remarqué en Argentine, notamment en remportant avec son ami Hugo Bargas le seul titre de champion de l'histoire de Chacarita Juniors en 1969, il débarque à Nantes sur les bords de l'Erdre en 1971 à l'âge de 28 ans pour sa première expérience européenne. À l’aise avec le ballon, le technicien argentin très créatif avait la particularité de pouvoir jouer sur tout le front de l’attaque (sur les deux ailes, en avant-centre et voire même en numéro dix). En quatre saisons, il remporte un titre de champion sous le maillot Jaune en 1973, où il plante 11 buts cette année-là, formant devant un duo de feu avec le puissant avant-centre Didier Couécou. L'homme aux 8 sélections avec l'Albiceleste raccroche les crampons à Toulouse, dont le dernier exercice comme entraîneur-joueur. Au total, il plantera plus d’une centaine de pions dans sa carrière. Son joli passage chez les Canaris lui permet d'être coach éphémère du FC Nantes lors de l'exercice 2002-03, en étant sur le banc lors de 57 rencontres.
PALMARÈS
Champion de France en 1973 (FC Nantes)
Vice-champion de France en 1974 (FC Nantes)
Champion d'Argentine en 1969 (Met.) (Chacarita Juniors)
Finaliste de la Coupe de France en 1973 (finale non-jouée) (FC Nantes)
Champion d'Argentine de D2 en 1963 (Ferro Carril Oeste)
Hugo Curioni
Photo: ©DR
Hugo Curioni
Hugo Alberto Curioni
Né le 11 octobre 1946 à General Cabrera (ARG)
Argentin, attaquant, 1m80
Surnom: "El Tula"
Un des représentants de la colonie argentine passée au FC Nantes. Si Hugo Curioni n’est resté qu’un an chez les Canaris, “El Tula” aura eu le temps d’y démontrer un talent de goleador incomparable. Pourtant son profil ne correspondait pas à José Arribas qui a préféré laisser partir l'argentin à Metz, pour le plus grand bonheur des Lorrains. En effet, il a formé une redoutable doublette avec Nico Braun. Les artilleurs de Metz qu’on les appelait.
