Toronto Croatia
Croatian National Sports Club Toronto Croatia, fondé le 5 octobre 1956
Autre nom: Toronto Metros (1971-1974), Toronto Metros-Croatia (1975-1978)
Surnom: Les Croates
Couleurs: rouge et blanc
Stade: Centennial Park (3 500 places)
La création du club
Le club est fondé le 5 octobre 1956 par les Croates du canada à Toronto. Les fondateurs sont Kreso Mance, Franjo Jurisic et Juraj Boljkovac qui a exercé les fonctions du premier président du club. En 1975, ils rejoignent la NASL fusionnant par la même occasion avec le Toronto-Metros.
1976, Vainqueur de la NASL
- Le club remporte le Soccer Bowl face au Minnesota Knicks (3 buts à 0). Le premier but de la rencontre est inscrit par Eusébio, la première star du football mondialement connu à mettre les pieds au Canada. Le club très original n’est cependant pas apprécié du reste de la ligue, en raison de l’affichage clair des origines des propriétaires dans le nouveau nom du club. Ceux-ci vont d’ailleurs faire de leurs origines une réelle politique de recrutement, puisqu’une dizaine de joueurs de l’équipe sont d’ascendance yougoslave. En 1978, le club révoque sa fusion à 50%. Une équipe reste en NASL sous le nom de "Toronto Blizzard" tandis que l'autre revient dans le championnat canadien avec son nom actuel.
(haut, de gauche à droite): Cimpiel, Polak, Bilecki, Lukacevic, Iarusci, Eusébio, Cukon, Marcantonio
(bas, de gauche à droite): Ferreira, Suhnholz, Sutevski, Grnja, Blaskovic, Horrocks
PALMARÈS COMPÉTITIONS NATIONALES
Champion des Etats-Unis en 1976
Vainqueur de la Canadian Soccer League en 2000, 2004, 2007, 2011 et 2012
Finaliste de la Canadian Soccer League en 1999 et 2014
Champion du Canada de la saison régulière en 1970, 1971, 1972,1973 et 1992
Vainqueur du playoff du championnat du Canada en 1971 et 1974
Vainqueur de la Coupe du Canada en 1971, 1972, 1988, 1989, 1992 et 1993
Vainqueur de la Canadian International Soccer League en 1995 et 1996
PALMARÈS COMPÉTITIONS INTERNATIONALES
Champion du Monde des clubs croate en 2007 et 2011
PALMARÈS COLLECTIF
Intronisé au Hall of Fame du football canadien en 2010
TORONTO CROATIA ALL-STAR
GARDIENS
Paulo Cimpiel (ITA)
George Azcurra (CAN)
Zeljko Bilecki (YOU)
DÉFENSEURS
Marijan Bilić (YOU)
Tadeusz Polak (AUT/POL)
Damir Sutevski (YOU)
Robert Iarusci (CAN)
Mladen Cukon (YOU)
Chris Horrocks (CAN)
Zlatko Mesić (YOU)
MILIEUX
Carmen Marmantonio (ITA/CAN)
Wolfgang Suhnholz (ALL)
Filip Blaskovic (YOU)
Ivair Ferreira (BRE)
Marijan Bradvić (YOU)
Hayden Fitzwilliams (TTO)
Jeno Strenicer (CAN)
Val Tuksa (YOU)
ATTAQUANTS
Ivan Grnja (YOU)
Ian MacHattie (ECO)
Drago Vabec (YOU)
Felix Correia (BRE)
Bruno Pilas (YOU)
Eusébio (POR)
Peter Roe (CAN)
Ivan Lukacevic (YOU)
Miguel Perrichon (ARG)
ENTRAÎNEURS
Velimir Crljen (YOU)
Ivan Markovic (YOU)
Ils ont joué au Toronto Croatia
José Henrique (POR)
Tony Lecce (CAN)
Jim McDonald (CAN)
Alan Harvey (CAN)
Manuel Velázquez (ESP)
Marino Perani (ITA)
Jim Douglas (CAN)
Harry De Vlugt (HOL)
Czesław Zajac (POL)
Brian Talbot (ANG)
José Maria (POR)
Gordon Wallace (CAN)
Jerko Granic (YOU)
Marko Vukovic (USA)
Joško Gluić (YOU)
John Coyne (AUS)
Vojin Lazarević (YOU)
Terry Harkin (IRL)
Paolo Barison (ITA)
Ante Ivković (YOU)
Graham Leggat (ECO)
Brian Budd (CAN)
Sead Sušić (YOU)
Aleja Solak (YOU)
Ray Treacy (IRL)
Ils ont débuté au Toronto Coratia
Jack Brand (CAN)
Robin Megraw (CAN)
Tim Burns (CAN)
Joe Schiraldi (CAN)
Pat Ercoli (CAN)
Matthew Le Tissier
photo: ©Irish Mirror
Matt Le Tissier
Matthew Paul Le Tissier
Né le 14 octobre 1968 à Saint-Pierre-Port (ANG)
Anglais, Milieu offensif/Attaquant, 1m87
Surnoms: Matt, Le God
8 sélections
(Matchs amicaux: 6 sélections)
(Qualif Coupe du Monde: 2 sélections)
1ère sélection:
le 9 mars 1994 contre le Danemark (1-0)
Dernière sélection:
le 12 février 1997 contre l'Italie (0-1)
B: 6 sélections, 3 buts
espoirs: 21 sélections, 3 buts
1986/2002 Southampton (ANG) 540 matchs, 209 buts
(Championnat d'Angleterre: 443 matchs, 160 buts)
(Coupe d'Angleterre: 33 matchs, 12 buts)
(Coupe de la ligue anglaise: 52 matchs, 27 buts)
(Full Members Cup: 12 matchs, 9 buts)
2002/03 Eastleigh (ANG) 17 matchs, 3 buts
2013 Guernsey (ANG) 1 match
Homme d’un seul club, Matt Le Tissier et sans doute passé à côté d’une formidable carrière, la "faute" à un amour démesuré pour ses couleurs: Southampton FC, un club qui chaque année luttait pour rester en Premier League.
Son talent, son style et surtout sa fidélité lui ont d’ailleurs valu un surnom à la hauteur de son statut: "Le God". Précurseur des meneurs de jeu techniques et buteurs, peu de gens connaissent le meilleur milieu de terrain anglais des années 90 en dehors de la Grande Bretagne. Le Tissier n'est pas une star planétaire, n'a joué que très peu de matchs internationaux avec l’équipe nationale mais il est sûrement un des joueurs anglais les plus talentueux de l’histoire du football britannique. Il est l’un des initiateurs du changement du football anglais avec Paul Gascoigne ou encore Paul Merson, préférant le jeu au sol et la technique au kick & rush et à la force, lui qui avait plus le physique d’un joueur de fléchettes que celui d’un footballeur professionnel.
Né en 1968 sur l’île anglo-normande de Guernesey, d’où son nom à consonance française, Matthew Paul Le Tissier débute sa carrière en 1986. Supporter des Spurs de Tottenham, il enfile pourtant la tunique rouge et blanche des "Saints" de Southampton à l'âge de 17 ans, qu’il ne quittera plus jamais. Récompensé en 1990 du titre de meilleur jeune joueur de l'année après une saison où ses 20 buts auront, déjà, permis aux Saints de se sauver de la relégation, Le Tissier commence à attiser les envies des clubs les plus huppés du pays. Fidèle aux Saints, celui qui en devient vite le capitaine et le porteur attitré du mythique N°7, va également devenir l’une des attractions de la Premier League des années 90. Rivalisant avec les Waddle, Shearer, Cantona ou Wright en termes d’efficacité, il ajoute à bon nombre de ses buts une dimension irréelle et esthétique qui fait sa renommée. Très souvent placé dans les différents tops buts de l’année, il avait la particularité de se lever le ballon avant de tirer de volée.
Photo: ©DR
Maigre consolation pour celui qui a joué le maintien toute sa carrière et qui n’aura jamais la chance de disputer le moindre match en Coupe d’Europe. Ses seuls matches contre des équipes étrangères, il les dispute avec la sélection anglaise, qui ne lui offrira malheureusement pas la chance de disputer une grande compétition internationale comme l'Euro 96 ou la Coupe du Monde 98. Avec seulement huit capes pour aucun but, il fait partie de ces énigmes du football qui n’auront jamais percé avec le maillot de leur pays malgré des performances toujours excellentes en club. Si l'on en croit le joueur dans son livre, même Michel Platini, sélectionneur des Bleus à l'époque, à la recherche d'un meneur de jeu, l’aurait contacté pour savoir s’il était tenté par la naturalisation. Sans succès, le beau Matt se sent anglais avant tout. Mais il n’a pas eu besoin des Three Lions pour construire sa légende.
Il est d’ailleurs le premier milieu de terrain de l’histoire à atteindre les 100 buts en première division anglaise, rejoint plus tard par les Frank Lampard, Ryan Giggs et Paul Scholes. Son plus beau but reste celui marqué contre Newcastle. Un chef-d'œuvre d'improvisation, un enchaînement sublime aile de pigeon, coup du sombrero et plat du pied de volée. Auteur au total de 209 buts en 540 matches pour le compte des Saints de Southampton, il emporte avec lui un autre chiffre légendaire: celui de ses 48 penaltys marqués sur 49 tentés. Le gardien Mark Crossley, évoluant à Nottingham Forest est en effet le seul à avoir mis Le Tissier en échec dans cet exercice où son sang froid et sans désinvolture étaient aussi comiques qu’efficaces. L’histoire d’amour entre Le Tissier et Southampton se termine le 19 mai 2001 lors du dernier match de la saison de Premier League face à Arsenal. Il s’agissait également du dernier match de Southampton au stade The Dell, devenu trop petit pour le nombre grandissant de supporters du club et du God, avant de rejoindre le stade flambant neuf de St Mary’s.
Pour son dernier match, il ne pouvait pas faire mieux que laisser sa marque dans l’histoire du stade en y marquant le dernier but officiel dans les dernières minutes signifiant la victoire par 3 buts à 2 et évitant ainsi une saison de plus la descente. En 2002, il rejoint Eastleigh pour quelques matchs avant de mettre un terme à sa carrière. Il rechausse les crampons dix ans après pour aider le club de sa ville natale, le Guernsey FC, qui joue en 9ème division anglaise. Un club pour lequel il est également président honoraire. Après avoir raccroché les crampons, il devient commentateur sur "Sky Sports". Après avoir été payé pour jouer au foot, il s’étonne désormais de l’être encore plus pour le regarder. Au final, Matt Le Tissier aura tout au long de sa carrière refusé de marcher sous les feux de la rampe. Mais on entend toujours raisonner dans les rues de Southampton: "He is God, Le God."
PALMARÈS
Finaliste de la Full Members Cup en 1992 (Southampton)
Vainqueur de la Ligue Wessex en 2003 (Eastleigh)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Élu jeune joueur de l’année PFA du championnat d'Angleterre en 1990
Prix du but de l'année du championnat d'Angleterre en 1995
Élu joueur de l'année par les fans de Southampton en 1990, 1994 et 1995
Nommé dans l'équipe type de l'année PFA du championnat d'Angleterre en 1995
Élu but de l'année du championnat d'Angleterre par la BBC en 1995
Intronisé au Hall of Fame du football anglais en 2013
DIVERS
- Une fois le Dell Stadium démoli en 2001, de nouvelles habitations sont construites à la place et l’une d’elles reçue l’honneur de s’appeler: Le Tissier Court. De plus, une des loges les plus luxueuses du nouveau St Mary’s Stadium a également reçu le nom du fantastique joueur.
VIDÉO
Dominique Baratelli
Photo: ©DR
Dominique Baratelli
Né le 26 décembre 1947 à Nice (FRA)
Français, gardien de but, 1m77
Surnom: Dumé
(Matchs amicaux: 10 sélections)
(Qualif Coupe du Monde: 3 sélections)
(Coupe du Monde: 1 sélection)
(Qualif Euro: 5 sélections)
(Coupe de l'indépendance: 2 sélections)
1ère sélection : le 11 juin 1972 contre le sélection CONCACAF (5-0)
Dernière sélection : le 28 avril 1982 contre le Pérou (0-1)
1967/71 AC Ajaccio (FRA) 116 matchs
(Championnat de France: 107 matchs)
(Coupe de France: 9 matchs)
1971/78 OGC Nice (FRA) 285 matchs
(Championnat de France: 247 matchs)
(Coupe de France: 30 matchs)
(Coupe de l'UEFA: 8 matchs)
1978/85 Paris SG (FRA) 281 matchs
(Championnat de France: 239 matchs)
(Coupe de France: 29 matchs)
(Coupe des Coupes: 10 matchs)
(Coupe de l'UEFA: 3 matchs)
Fabuleux portier des années 70, Dominique Baratelli a fait les beaux jours de l'OGC Nice et du PSG grâce à son admirable sens de l'anticipation, ses belles sorties aériennes et ses sacrés réflexes sur les pénaltys.
Surnommé Dumé, ce personnage discret mais attachant a puisé dans ses racines et dans un physique peu taillé pour l'emploi, des qualités qui en fait de lui l'un des meilleurs gardiens français de sa génération. Peut-être que s'il avait été titularisé pour la Coupe du Monde 1982, les Bleus aurait pu prétendre à plus.... Formé à l'école des gardiens du Cavagal, le Niçois de cœur et d'origine signe pourtant son premier contrat pro à l'AC Ajaccio en 1967. Plus petit qu'un gardien lambda de l'époque, il compense par des réflexes fantastiques et un sens de l'anticipation précieux lors des sorties dans les pieds. Tout naturellement, il regagne la promenade des Anglais en 1972 après quatre saisons corses. Revenu en pleine maturité, la Côte d'Azur est son paradis, le stade du Ray sa maison. Malgré une équipe talentueuse, le palmarès niçois de Baratelli restera malgré tout vierge de titre. Deux fois vice-champion et une fois finaliste de la Coupe de France en 1972 renversé par l'AS Nancy-Lorraine d'un certain Michel Platini. Son beau parcours lui permet d'être rapidement appelé en équipe de France comme doublure de Georges Carnus. En 1973, il devient titulaire après un tout nouveau changement de sélectionneur. Résistant à la concurrence de Jean-Paul Bertrand-Demanes, il dispute les qualifs de l'Euro 1976 puis, à la faveur de la blessure de ce dernier, il le remplace en cours de match face à l'Argentine lors de la Coupe du Monde 1978. La défaite sonne le glas des Tricolores et l'entraîneur Hidalgo en profite pour faire jouer les coiffeurs pour le troisième match.
Photo: ©DR
Après la compétition, Baratelli rejoint le PSG à la recherche d'un premier trophée. Mais les déboires du club l'empêchent de retrouver la sélection. En 1982, le PSG gagne enfin son premier titre: la Coupe de France. Baratelli est le héros de ce parcours et y gagne une réputation de "tueur des pénaltys" puisque le club de la capitale triomphera dans cette épreuve spécifique successivement face à l'OM, Bordeaux et Tours avant d'affronter les Verts en finale. La rencontre face au FC Tours restera dans les annales puisque le gardien tourangeau, Jean-Marc Desrousseaux, est lui aussi un spécialiste des penos. Alors qu'il stoppe trois tirs parisiens, Baratelli réussit l'exploit d'en sortir quatre. Fort de ses exploits, il fait partie du voyage pour le Mondial espagnol en 1982 mais doit laisser le fauteuil de titulaire à Jean-Luc Ettori à la surprise générale. Malheureusement, la France échoue face aux briseurs de rêves allemand après avoir mené 3 buts à 1 en prolongation. La non titularisation de Baratelli, spécialiste des tirs au but, reste un mystère et Michel Hidalgo a toujours refusé de s'étendre sur ce sujet. Pour la petite finale, c'est Jean Castaneda qui joue et qui coûte la 3ème place sur deux erreurs... Sans doute le sélectionneur préparait-t-il l'Euro 84 et du haut de ses 33 ans Dominique n'était pas une solution d'avenir... En 1983, il quitte définitivement les Bleus et réalise cette année-là une bonne saison au PSG qui remporte de nouveau la Coupe de France face au FC Nantes, célèbre pour le fameux but de José Touré et atteint dans le même temps les quarts de finale de la Coupe des Coupes. L'année suivante est plus délicate: auteur d'un match catastrophique face aux Hongrois de Videoton (défaite 2 buts à 4), il perd sa place. À la fin de la saison, le modèle de longévité range les gants à l'âge de 38 ans et quitte le monde du football avec 593 matches de Division 1 au compteur. Sitôt la fin de sa carrière, Baratelli retrouve ses racines et devient entraîneur de Cagnes-sur-Mer en 4ème division durant cinq saisons et entre ensuite à la mairie de la ville où il devient animateur au service des sports. Il prend définitivement sa retraite le 24 septembre 2010. Numéro un des gardiens du Gym, Dominique Baratelli est élu lors d'un sondage 3ème meilleur joueur de l'histoire de l'OGC Nice.
PALMARÈS
4ème de la Coupe du Monde en 1982 (France)
Vice-champion de France en 1973 et 1976 (OGC Nice)
Vainqueur de la Coupe de France en 1982 et 1983 (Paris SG)
Finaliste de la Coupe de France en 1978 (OGC Nice)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Étoile d’or France Football en 1976
Eric Di Méco
Photo: ©DR
Eric Di Méco
Né le 7 septembre 1963 à Avignon (FRA)
Français, défenseur gauche, 1m82
Surnom: la faucheuse
(Matchs amicaux: 13 sélections)
(Qualif Coupe du Monde: 2 sélections)
(Qualif Euro: 7 sélections)
(Euro: 1 sélection)
1ère sélection : le 16 août 1989 contre la Suède (4-2)
Dernière sélection : le 10 juin 1996 contre la Roumanie (1-0)
1980/94 Olympique de Marseille (FRA) 277 matchs, 13 buts
(Championnat de France: 216 matchs, 10 buts)
(Coupe de France: 37 matchs, 3 buts)
(Coupe d'Europe des clubs champions: 24 matchs)
1986/87 AS Nancy-Lorraine (FRA) (Prêt) 30 matchs, 1 but
(Championnat de France: 29 matchs, 1 but)
(Coupe de France: 1 match)
1987/88 FC Martigues (FRA) (Prêt) 32 matchs, 2 buts
(Championnat de France de D2: 31 matchs, 2 buts)
(Coupe de France: 1 match)
1994/98 AS Monaco (FRA) 78 matchs, 1 but
(Championnat de France: 65 matchs, 1 but)
(Coupe de France: 5 matchs)
(Coupe de la ligue: 7 matchs)
(Coupe de l'UEFA: 1 match)

Autres Joueurs Français
GARDIENS DE BUT
DÉFENSEURS LATÉRAUX
DÉFENSEURS CENTRAUX
MILIEUX DÉFENSIFS/CENTRAUX
MILIEUX OFFENSIFS/AILIERS
ATTAQUANTS