France
Jean-Pierre Cyprien
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Jean-Pierre Cyprien
Né le 12 février 1969 à Basse-Terre (GLP)
Français, Défenseur central, 1m85
1 sélection
(Match amical: 1 sélection)
1ère et dernière sélection : le 16 février 1994 contre l'Italie (1-0)
espoirs: 8 sélections
1986/90 Le Havre AC (FRA) 87 matchs, 8 buts
(Championnat de France: 21 matchs, 1 but)
(Championnat de France de D2: 60 matchs, 7 buts)
(Coupe de France: 6 matchs)
1990/94 Saint-Etienne (FRA) 140 matchs, 2 buts
(Championnat de France: 130 matchs, 2 buts)
(Coupe de France: 10 matchs)
1994/95 Torino (ITA) 2 matchs
1995/96 Stade Rennais (FRA) 34 matchs, 3 buts
(Championnat de France: 32 matchs, 3 buts)
(Coupe de France: 1 match)
(Coupe de la ligue: 1 match)
1996/97 Neuchâtel Xamax (SUI) 33 matchs, 2 buts
(Championnat de Suisse: 24 matchs, 1 but)
(Coupe de l'UEFA: 9 matchs, 1 but)
1997/99 Lecce (ITA) 65 matchs, 2 buts
(Championnat d'Italie: 31 matchs, 1 but)
(Championnat d'Italie de D2: 27 matchs, 1 but)
(Coupe d'Italie: 7 matchs)
1999/2000 Olympique de Marseille (FRA) 11 matchs
(Championnat de France: 7 matchs)
(Coupe de France: 1 match)
(Coupe de la ligue: 1 match)
(Ligue des Champions: 2 matchs)
2000 Salernitana (ITA)
2000/01 Crotone (ITA) 20 matchs, 2 buts
2002/03 ES Fréjus (FRA) 16 matchs
2004/05 Pau FC (FRA)
2006/08 US Cagnes (FRA)
Considéré comme l'un des meilleurs défenseurs centraux français des années 90, Jean-Pierre Cyprien aurait pu être l’égal de Thuram ou d’Angloma mais malheureusement très vite rattrapé en pleine ascension par une blessure incurable...
Natif de Basse-Terre, il quitte les accueillants rivages de sa Guadeloupe natale pour les moins accueillants quais du Havre. Devenu défenseur au centre de formation havrais, il effectue des débuts remarqués en première division, muselant pour sa première titularisation le grand avant-centre anglais Mark Hateley qui évoluait à l’époque à Monaco. Le HAC relégué en 1988, le jeune Jean-Pierre poursuit ses gammes chez les Ciel et Marine en D2, devient international espoirs, mais l’échec lors de la course à la montée en 1990 scelle son départ: il est transféré à Saint-Etienne et retrouve l’élite. Figure montante du football français, il va accompagner la progression de l'ASSE, qui se structure, gagne en régularité, et décroche une belle sixième place en 1993.
Le 16 février 1994, le défenseur stéphanois intègre l’équipe de France. Il entre à la 73ème minute de jeu à la place de Christian Karembeu lors d’un match amical à Naples face à l’Italie dans le Stadio San Paolo. C’est la récompense de ses bonnes performances avec les Verts comme stoppeur d’abord aux côtés de Sylvain Kastendeuch puis de Laurent Blanc. Étoile d’Or France Football, tout lui sourit. Aimé Jacquet, chargé d’effacer le traumatisme Kostadinov, cherche les cadres de l’équipe qui va participer à la Coupe du Monde 98 et compte visiblement sur lui. Paris, Lyon, Marseille et le Bayern font les yeux doux à l’ancien Havrais. Mais comme le pensaient les Romains, "Arx Tarpeia Capitoli proxima". La bonne fortune est fugace. Trois jours après cette rencontre internationale, il est victime d’une grave blessure au tendon d’Achille, dans une rencontre face à Caen. Sa saison est finie. C’est le début de sa descente aux enfers.
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Une première opération. Après sa rééducation, il signe à Torino, aucun autre club ne voulant prendre le risque de l’engager. Lors de la visite médicale, il apprend que l’opération a été mal faite. Verdict: nouvelle intervention. Il ne jouera que deux rencontres avec le club turinois. Il signe ensuite à Rennes et retrouve doucement la plénitude de ses moyens en défense centrale, au côté de François Denis. Sa saison est correcte, mais pas assez au goût des dirigeants rennais qui le transfèrent l’été suivant à Neuchâtel-Xamax en Suisse. La suite de sa carrière sera chaotique, ponctuée de saisons pratiquement blanches, pendant lesquelles Cyprien erre du côté de Lecce pendant deux ans puis signe à Marseille durant le mercato d'hiver 1999-2000. Suite à la saison catastrophique des Phocéens, il tente un retour raté à la Salernitana, où il ne dispute pas une seule rencontre. Rattrapé par une affaire de dopage jamais élucidée, Cyprien devient un paria dans le monde du football. Après une dernière saison à Crotone, en Série B, il met un terme à sa carrière de joueur professionnel avec un palmarès vierge.
De retour dans l'Hexagone en 2002, il poursuit en CFA, avec Fréjus. En 2003, contre Luzenac, une bagarre révèle la fragilité du personnage. Il se lance à la poursuite du bus de l’équipe adverse avec son véhicule, et blesse deux occupants. Bilan: 24 heures de garde à vue et 18 mois de prison avec sursis. Devenu coach sportif dans le cadre du programme "Power Plate" qui s'appuie sur des machines à base de vibrations permettant d’entretenir son corps et de le muscler, il reçoit une autre condamnation en 2015 pour violence sur son ancienne compagne avant sa comparution immédiate la semaine dernière. Le rapport de l’expert psychiatre a révélé une attitude narcissique et une immaturité sentimentale due selon son avocat à son enfance difficile. Espérons qu’après avoir purgé sa peine, la roue tourne cette fois dans le bon sens pour JPC.
PALMARÈS
Vainqueur du Tournoi de Toulon en 1988 (France)
Vice-champion de Suisse en 1997 (Neuchâtel Xamax)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Étoile d'or France Football en 1993
Bernard Pardo
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Bernard Pardo
Né le 19 décembre 1960 à Gardanne (FRA)
Français, milieu défensif, 1m73
Surnoms: Le santon de Gardanne, le poumon de l'OM
13 sélections
(Matchs amicaux: 7 sélections)
(Qualif Coupe du Monde: 3 sélections)
(Qualif Euro: 3 sélections)
1ère sélection : le 24 août 1988 contre la Tchécoslovaquie (1-1)
Dernière sélection : le 20 février 1991 contre l'Espagne (1-3)
olympique: 3 sélections
1976/78 US Gardanne (FRA)
1978/79 US Boulogne (FRA) 34 matchs, 4 buts
(Championnat de France de D2: 33 matchs, 4 buts)
(Coupe de France: 1 match)
1979/80 Lille OSC (FRA) 2 matchs
1980/85 Stade Brestois (FRA) 194 matchs, 13 buts
(Championnat de France: 142 matchs, 10 buts)
(Finale D2: 2 matchs)
(Championnat de France de D2: 32 matchs, 3 buts)
(Coupe de France: 18 matchs)
1985/86 Saint-Etienne (FRA) 22 matchs, 2 buts
(Championnat de France de D2: 18 matchs, 2 buts)
(Finale D2: 2 matchs)
(Coupe de France: 2 matchs)
1986/89 SC Toulon (FRA) 118 matchs, 7 buts
(Championnat de France: 111 matchs, 6 buts)
(Coupe de France: 7 matchs, 1 but)
1989/90 Bordeaux (FRA) 40 matchs, 2 buts
(Championnat de France: 36 matchs, 1 but)
(Coupe de France: 4 matchs, 1 but)
1990/91 Olympique de Marseille (FRA) 31 matchs, 1 but
(Championnat de France: 26 matchs, 1 but)
(Coupe de France: 1 match)
(Coupe d'Europe des clubs champions: 4 matchs)
1991/92 Paris SG (FRA) 6 matchs
1993/94 SC Toulon B (FRA) 13 matchs, 1 but
Ancienne gloire du football français des années 90, Bernard Pardo était un aboyeur invétéré à l'ancienne, à la technique certes rudimentaire mais qui a le chic pour faire plier les plus grands stratèges auxquels il est confronté.
Né à Gardanne, pas loin de Marseille, son père lui fait découvrir très tôt le monde du football en l'emmenant régulièrement au stade Vélodrome. C'est la chance qui fera jeter Bernard dans le grand bain. Après deux saisons en amateur à l'AS Gardanne pendant lesquelles il participe à la montée en quatrième division, le jeune bambin âgé alors de 17 ans rencontre pendant les vacances l'entraîneur de Boulogne qui lui demande de venir faire un essai. L'affaire est plié au bout d'une semaine. Une carrière ascendante, une progression régulière l'emmèneront à ceux qui se fait de mieux en France. Après un passage à Lille, il signe en 1980 à Brest, alors ambitieux club de Division 2. Pardo participe à la remontée du club breton et enchaîne les saisons pleines de promesses. Il y fréquente des garçons comme Gérard Bernardet, Vincent Guérin, Gérard Buscher ou encore le buteur prolifique Drago Vabec. Au bout de cinq saisons entre la ligne de flottaison et le ventre mou, il plie bagage et prend la direction du Forez et Saint-Etienne. Il contribue grandement à la remontée malgré une vilaine blessure à l'intersaison qui le prive d'une quinzaine de matches. C'est à cette époque que sa carrière prend une autre tournure. Direction le Sporting Toulon en 1986. Au cours de toutes ces années passées à bourlinguer, le milieu de terrain infatigable a connu du monde, et s'est fait connaître et apprécier.
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C'est à ce moment là que Michel Platini, nommé sélectionneur de l'équipe de France en 1989, l'appelle chez les Bleus pour en faire son homme de confiance. Il honore alors douze capes de suite en tant que titulaire au poste de récupérateur. Il enchaîne ensuite les piges dans les plus grands clubs français. Bordeaux d'abord, où il flambe. Puis l'Olympique de Marseille l'année suivante dans sa quête du graal européen. Titulaire tout le long de la saison, il est victime, en mars 1991, juste avant le quart de finale retour contre le Milan de Sacchi, double champion d'Europe en titre, d'une rupture des ligaments croisés du genou lors d'un choc terrible avec Chris Waddle durant un entraînement. Il attend la fin de la saison pour se faire opérer et rate la finale de C1 contre l'Étoile Rouge de Belgrade, ainsi que celle de la Coupe de France contre l'AS Monaco. Il ne reviendra jamais. Échangé avec Germain et Fournier contre le seul Angloma, l'ancien chouchou du public marseillais façon Tapie devient aphasique dans la capitale. Arrivé blessé, le contrat est rompu au bout de six rencontres. En équipe de France, il laisse sa place à un certain Didier Deschamps. Le début de la fin. L'ancien récupérateur un peu fou raccroche à Toulon, englué en National. Quelques mois plus tard, il est incarcéré, six mois aux Baumettes, puis quelques semaines à Luynes, pour trafic de cocaïne. Sans y voir un quelconque lien de cause à effet, Pardo avait payé de sa poche quelques mois plus tôt la libération de Francis Vandenberghe, plus connu sous le nom de "Francis le Belge"... Simultanément, il est fortement suspecté avec d'anciens joueurs toulonnais d'être impliqué dans une affaire de matches truqués. Il sera blanchi. Il échappera ensuite de peu à la mort grâce à une transplantation cardiaque mais perdra toutes ses dents la faute à une terrible infection. Sauvé, mais pas oublié par le fisc qui lui réclame plus de cinq millions de francs d'arriérés, Bernard Pardo suivra alors son chemin de pénitence et deviendra en août 1994 furtivement l'adjoint de Bernard Casoni alors sélectionneur de l'équipe nationale d'Arménie. Depuis, Bernard Pardo s'est refait une santé et tient aujourd'hui avec son frère le bar de la Poste à Gardanne, sa ville natale entre Aix et Marseille, où il a grandi. Superstitieux, Bernard Pardo expliqua un jour: "J'ai eu 13 sélections chez les Bleus, j'habite dans le département 13, mon père est né un 13..." C'est ce qui s'appelle avoir de la chance!
PALMARÈS
Finaliste de la Coupe d’Europe des clubs champions en 1991 (Olympique de Marseille)
Champion de France en 1991 (Olympique de Marseille)
Vice-champion de France en 1990 (Bordeaux)
Finaliste de la Coupe de France en 1991 (finale non-jouée) (Olympique de Marseille)
Champion de France de D2 en 1981 (Stade Brestois)
Vice-champion de France de D2 en 1986 (Saint-Etienne)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Étoile d'or France Football en 1988
Pierrick Hiard
Photo: ©DR
Pierrick Hiard
Né le 27 avril 1955 à Rennes (FRA)
Français, Gardien de but, 1m79
(Qualif Coupe du Monde: 1 match)
1ère et dernière sélection : le 9 septembre 1981 contre la Belgique (0-2)
1972/77 Stade Rennais (FRA) 48 matchs
(Championnat de France: 25 matchs)
(Championnat de France de D2: 21 matchs)
(Finale D2: 2 matchs)
1978/83 SC Bastia (FRA) 205 matchs
(Championnat de France: 161 matchs)
(Coupe de France: 35 matchs)
(Coupe des Coupes: 4 matchs)
(Coupe de l'UEFA: 5 matchs)
1983/91 Stade Rennais (FRA) 275 matchs
(Championnat de France: 122 matchs)
(Championnat de France de D2: 114 matchs)
(Barrages: 6 matchs)
(Finale D2: 1 match)
(Coupe de France: 32 matchs)
1990/92 Stade Rennais B (FRA) 40 matchs
Pierrick Hiard, où l'itinéraire d'un gardien qui aurait pu réussir une belle carrière s'il n'avait pas privilégié un choix de vie en restant dans ses deux clubs de coeur, Rennes et Bastia.
C'est pour cela qu'il fait partie des personnalités qui, par leurs actes, ont marqué durablement ces deux équipes françaises. Né le 27 avril 1955, ce Rennais pur souche commence le football tout naturellement dans le club de sa ville dès l'âge de 10 ans. Lancé dans le grand bain du football, il se distingue rapidement grâce à des qualités au-dessus de la moyenne. Vainqueur de la Coupe Gambardella en 1973, il devient rapidement le gardien de l’équipe première après le départ du titulaire habituel Daniel Bernard au Paris SG. Englué dans des difficultés financières, le Stade Rennais est obligé fin 1977 de vendre ses meilleurs espoirs. Gardien prometteur, Hiard est évidemment de ceux-là, et c’est le SC Bastia qui profite de l’aubaine. Il va alors connaître une période faste avec le Sporting Club de Bastia. Finaliste de la Coupe UEFA en 1978 et vainqueur de la Coupe de France en 1981 face à Saint-Etienne (2 buts à 1), il obtient également son unique sélection chez les Bleus. Resté cinq saisons et demie en Corse, Hiard retourne à Rennes dès que le club Rouge et Noir retrouve l’élite, en 1983. Il accompagne le club au gré des relégations et des promotions, avant de prendre sa retraite à l'âge de 37 ans en 1992 avec un dernier match face à l'AS Cannes de Zinedine Zidane. Attaché au club et à la ville, l’ancien gardien de but international intègre le staff de l’équipe fanion comme entraîneur des gardiens jusqu’en 2003 avant d’intégrer la cellule de recrutement. Véritable légende vivante des Rouge et Noir, Pierrick Hiard détient le record du plus grand nombre de matches joués comme gardien du club rennais.
PALMARÈS
Finaliste de la Coupe UEFA en 1978 (SC Bastia)
Vainqueur de la Coupe de France en 1981 (SC Bastia)
Vice-champion de France de D2 en 1976 et 1990 (Stade Rennais)
Vainqueur de la Coupe Gambardella en 1973 (Stade Rennais)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Étoile d'or France Football en 1980 et 1982
André Rey
Photo: ©DNA
André Rey
Né le 22 janvier 1948 à Strasbourg (FRA)
Français, Gardien de but, 1m87
(Matchs amicaux: 7 sélections)
(Qualif Coupe du Monde: 2 sélections)
(Qualif Euro: 1 sélection)
1ère sélection : le 23 février 1977 contre la RFA (1-0)
Dernière sélection : le 2 mai 1979 contre les Etats-Unis (6-0)
1966/69 Rosheim (FRA)
1969/70 RC Strasbourg B (FRA) 13 matchs
1969/74 RC Strasbourg (FRA) 19 matchs
(Championnat de France: 17 matchs)
(Coupe de France: 2 matchs)
1971/72 FC Mulhouse (FRA) (Prêt) 31 matchs
(Championnat de France de D2: 30 matchs)
(Coupe de France: 1 match)
1974/80 FC Metz (FRA) 225 matchs
(Championnat de France: 198 matchs)
(Coupe de France: 27 matchs)
1980/82 OGC Nice (FRA) 63 match
(Championnat de France: 59 matchs)
(Coupe de France: 4 matchs)
1982/83 FC Mulhouse (FRA) 33 matchs
(Championnat de France: 31 matchs)
(Coupe de France: 2 matchs)
1983/84 FC Yonnais (FRA) 15 matchs
(Championnat de France de D2: 13 matchs)
(Coupe de France: 2 matchs)

DISTINCTIONS PERSONNELLES
Étoile d'or France Football en 1979
Raymond Keruzoré
Photo: ©Football Magazine
Raymond Keruzoré
Né le 17 juin 1949 à Chateauneuf-du-Faou (FRA)
Français, milieu défensif, 1m73
Surnom: Kéru
(Match amical: 1 sélection)
(Qualif Coupe du Monde: 1 sélection)
1ère sélection : le 17 novembre 1976 contre l'Eire (2-0)
Dernière sélection : le 11 mai 1978 contre l'Iran (2-1)
1966/67 Stade Quimpérois (FRA)
1967/73 Stade Rennais (FRA) 102 matchs, 7 buts
(Championnat de France: 88 matchs, 6 buts)
(Coupe de France: 12 matchs, 1 but)
(Coupe des Coupes: 2 matchs)
1973/74 Olympique de Marseille (FRA) 29 matchs, 2 buts
(Championnat de France: 25 matchs, 2 buts)
(Coupe de l'UEFA: 4 matchs)
1974/75 Stade Rennais (FRA) 21 matchs
(Championnat de France: 18 matchs)
(Coupe de France: 3 matchs)
1975/79 Stade Lavallois (FRA) 129 matchs, 20 buts
(Championnat de France: 99 matchs, 14 buts)
(Championnat de France de D2: 20 matchs, 4 buts)
(Coupe de France: 10 matchs, 2 buts)
1979/81 Stade Brestois (FRA) 47 matchs, 1 but
(Championnat de France: 38 matchs)
(Championnat de France de D2: 8 matchs, 1 but)
(Coupe de France: 1 match)
1981/84 Guingamp (FRA) 91 matchs, 7 buts
(Championnat de France de D2: 77 matchs, 6 buts)
(Coupe de France: 14 matchs, 1 but)
Désigné joueur du siècle au Stade Lavallois en 2002, vainqueur de la coupe de France avec le Stade Rennais en 1971, Raymond Keruzoré, deux sélections en équipe de France, est une véritable légende du football breton, connu pour son caractère bien trempé, son élégance et sa technique exceptionnelle.

PALMARÈS
Vainqueur de la Coupe de France en 1971 (Stade Rennais)
Champion de France de D2 en 1981 (Stade Brestois)
Vainqueur du Challenge des champions en 1971 (Stade Rennais)
DISTINCTIONS PERSONNELLES
Étoile d'or France Football en 1977
Élu joueur du siècle du Stade Lavallois en 2002